Le blog de de la rencontre échangiste

Plein de surprises et de soleil, mon premier jour au camping libertin était dernière moi. J’avais déjà un beau garçon à mon tableau de chasse et, même s’il me plaisait vraiment, j’ai essayé de continuer de m’amuser. Mais je ne pensais pas qu’il me serait aussi difficile de passer à autre chose…  

Les vacances d’Eva au camping libertin : « Appâter le joli garçon sans nom »

Le soleil du matin, déjà haut dans le ciel, m’avait tirée de ma tente, étouffante tel le sauna. Je suis passée par les sanitaires, me suis brossée les dents et j’ai pris une douche fraîche. Puis j’ai commandé un café à la buvette et je suis allée m’installer au bord de la piscine. De l’autre côté du bassin, assis sur un transat, mon aventure de la veille se faisait masser par une blonde aux gros seins. Le genre de bimbo écervelée qui agace. Vous voyez le tableau ? Je sais : ça fait un peu cliché. Mais que voulez-vous ? C’est bien ce que j’ai vu malgré moi ce matin-là.

Ce n’est pas sans une pointe de jalousie que j’ai détourné le regard. Il fallait que je trouve un moyen d’attirer son attention. Alors j’ai regardé autour de moi pour trouver un campeur seul qui me permettrait d’appâter le joli garçon sans nom.

Il y avait quelques hommes seuls répartis autour de la piscine. Seul un d’entre eux est digne d’intérêt. C’était Éric, le trentenaire aux cheveux poivre et sel qui m’avait aidé à monter ma tente. Je me suis approchée et je l’ai apostrophé. Il avait l’air un peu vexé. C’est vrai que je n’avais pas été très reconnaissante envers lui et il m’a fallu jouer de mes charmes pour le faire sourire. On a repris notre discussion de la veille et je lui ai demandé s’il avait toujours envie de me photographier. Il avait retrouvé le sourire et, comme il avait remarqué que je n’avais cesse de passer la main dans ma nuque, il m’a proposé un massage. Malheureusement pour moi il était plus habile avec les piquets de tente qu’avec l’huile de massage. De toute façon, mon but était surtout d’attirer l’attention du jeune homme de la veille.

Au camping libertin : « Une bonne quinzaine de minutes à le sucer »

Mais mon plan n’a pas marché et je me suis retrouvée à passer toute la matinée avec Éric qui était devenu un peu collant à la longue. Comme je voulais m’en débarrasser rapidement et sans brusquerie, je l’ai invité à me prendre en photo, mais à la condition qu’il me promette de garder pour lui les clichés. Tout content, il a accepté et nous sommes allés dans un coin un peu plus privé. Il m’a photographiée en bikini et, comme je pouvais m’en douter, il m’a fait des avances. Il n’était vraiment pas si mal, mais comme je n’avais pas très envie de faire l’amour avec lui, il a dû se contenter d’une fellation avec préservatif. Il ne pouvait pas refuser l’offrande et il en a même profiter au maximum. J’ai dû passer une bonne quinzaine de minutes à le sucer pour qu’il jouisse enfin.

J’ai poursuivi ma journée à bronzer au bord de la piscine. Je voulais être en forme pour la soirée qui s’annonçait torride et où je comptais bien découvrir le nom du joli garçon. Le soir est arrivé assez vite et je me suis préparée en conséquence pour l’occasion. J’avais envie de me sentir à l’aise, alors je suis sortie sans culotte. Je portais uniquement mon paréo en guise de tunique sexy.

Au camping libertin : « Il est arrivé au bras de deux femmes »

Je suis arrivée à la soirée vers 21h30. La lumière rouge-orange du soleil couchant flirtait avec ma peau légèrement brunie par la journée ensoleillée qui venait de s’écouler. L’ambiance était très décontractée et les premiers couples et trouples commençaient à se former. La bimbo de ce matin était aussi là et elle faisait déjà tout pour être au centre de l’attention. Vêtue de blanc, elle portait les talons aiguille les plus hauts que je n’avais jamais vus. Je n’attendais qu’une seule chose : qu’elle se vautre sur la piste de danse. Et je ne devais pas être la seule. Bref, finis les accès de jalousie. J’avais besoin de me concentrer sur moi et surtout sur la façon d’aborder le jeune homme de la veille.

Bien évidemment, il se faisait désirer. J’avais déjà un petit coup dans le nez et j’étais en plein flirt lorsqu’il est arrivé au bras de deux femmes. Mon courtisan du soir avait remarqué que mon attention n’était plus portée vers lui et j’ai dû le retenir pour qu’il n’aille pas voir ailleurs. Je ne vous cache pas que j’étais un peu déçue mais j’ai décidé de m’amuser. Alors j’ai baisé avec John — ou Jean, la musique était un peu forte et je n’ai pas pu bien distinguer son prénom. Ce ne fut pas si mal mais pas extraordinaire.

Comme je n’avais pas très envie de dormir dans la tente, j’ai passé la nuit à l’hôtel de John ou de Jean, je ne sais toujours pas et cela m’est un peu égal, à vrai dire.

A suivre…