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Coup d'un soir : « Une trentenaire qui a le feu au cul »

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Pourquoi faut-il toujours que les rencontres les plus soudaines, les plus inattendues, les plus excitantes surviennent lorsque je suis en couple ? Quand je suis célibataire, les coups d’un soir se font rares, en revanche, quand je suis dans une relation je tombe toujours sur le mec qui me donne envie. Bien souvent je cède à la tentation. Pas plus tard qu’hier j’ai trompé mon mec actuel. Bon, je n’ai pas prévu qu’il soit le père de mes enfants, si tant est que je le trouve et que j’en fasse, mais quand même, j’éprouve quelques remords, même si le mec ne m’a pas pénétrée…

Coup d’un soir : « Les regards avides masculins qui nourrissent mon égo »

Mon mec du moment, bien qu’il soit très beau et qu’il le sache, est un gars adorable, un peu trop parfois. Il est étudiant, du moins quand l’université est ouverte. J’ai toujours été attirée par les hommes plus jeunes que moi. L’inverse est sans doute tout aussi vrai. En ce moment, même si les cours et les partiels sont perturbés, il est en période d’examens et il n’a que peu de temps à m’accorder.

Peut-on priver de sexe une trentenaire qui a le feu au cul pour des partiels dont les résultats n’auront qu’une piètre valeur ? C’est un peu dur de ma part, mais il faut aussi savoir se détendre, surtout en période de stress.

coup d'un soir

Hier, je l’ai donc laissé vaquer à ses révisions. Il était cependant hors de question que je m’ennuie à la maison à regarder des séries ou à bouquiner un roman érotique. Donc je suis sortie, mais pas n’importe comment. Je ne suis pas de celles qui peuvent sortir débraillée, sans maquillage ni accessoires. Je n’ai pas besoin de raison particulière pour me suis fait belle. Je le fais, point à la ligne.

J’ai mis mon jean taille haute préféré sur lequel se posent les regards avides masculins qui nourrissent mon égo, un petit haut à fleurs très printanier qui laisse entrevoir un bout de chair, des talons hauts pour mettre en valeur mes jambes et mes fesses. Cheveux détachés, mascara noir, rouge à lèvres rouge, j’étais prête pour sortir. Il ne me manquait plus qu’une copine pour m’accompagner. J’ai appelé Aurélie, Noémie, Cynthia, mais aucune n’était libre. Je n’avais pas spécialement envie de la voir mais j’ai quand même appelé Petra. Elle adore sortir.

Coup d’un soir : « En bonne salope que je suis »

Petra était déjà en route pour un bar que j’aime bien fréquenter. C’est un bar rock où les mecs sont sûrs d’eux et bien machos comme il faut. Je l’y ai rejoint. Elle discutait déjà avec un mec tatoué. En bonne salope que je suis, je me suis immiscée entre les deux. Petra n’a même pas tenu à me présenter, alors j’ai fait moi-même les présentations.

Même si je n’apprécie pas trop cette fille, je dois avouer qu’elle a du goût niveau mec. Le gars avec qui elle discutait avant mon arrivée était vraiment bien foutu et il savait choisir les habits pour mettre son corps en valeur. Nous nous sommes alors lancées dans une course pour obtenir l’exclusivité avec ce mec. Il n’avait pas à se plaindre. Deux jolies femmes qui le mangent du regard et boivent ses paroles… bon, ça doit lui arriver quelques fois, même s’il n’est pas le plus intelligent d’entre tous…

La bataille a été longue et animée. Petra n’a pas déméritée mais j’ai un atout qu’elle n’a pas : une poitrine proéminente. Apparemment c’est le détail qui a fait la différence. Vexée qu’il regarde plus mes seins que ses yeux, elle a fait mine de lire un message sur son smartphone et elle est partie. Je me suis donc retrouvée seule avec le beau tatoué. Je n’avais pas de temps à perdre : qui me disait qu’une autre femme avec une poitrine plus généreuse encore ne vienne pas me souffler ma proie ? Je lui ai soufflé à l’oreille pour lui demander où il habitait. Il a semblé gêné par mon invitation explicite à baiser. Cette attitude qui ne respirait pas l’assurance m’a fait perdre un peu d’excitation, mais l’envie de sexe m’a aidé à surmonter ce tout petit obstacle. J’ai répété : « emmène-moi chez toi ». Il m’a prise par le bras — son assurance était revenue—, et nous avons sauté dans un taxi.

Coup d’un soir : « Je lui ai offert une branlette espagnole »

Son appartement était ordonné. Il m’a proposé d’aller dans sa chambre, j’ai préféré le salon. Le lit est un endroit trop intime pour un coup d’un soir. Nous avons commencé à nous embrasser sur le canapé. Il embrassait plutôt bien : ni trop de langue, ni pas assez. Ma main s’est alors faufilée dans son pantalon. Je voulais savoir ce qui m’attendait. Mes espérances n’ont pas été déçues. Il a contre-attaqué en retirant mon soutien-gorge, puis il m’a caressé les seins. Je me doutais qu’il était ce genre d’hommes à se concentrer avant tout sur les seins. J’ai voulu lui faire plaisir : je lui ai offert une branlette espagnole dont il se souviendra.

Après ce cadeau qu’il ne doit pas ouvrir tous les jours, je l’ai laissé me lécher. Il en avait envie et il savait bien s’y prendre. J’étais tellement excitée que j’ai pris sa tête en mes mains et l’ai appuyée contre mon sexe en ébullition, puis je l’ai imploré de me baiser.

Je pensais être chanceuse, mais le con, oui, le con n’avait pas de préservatif. Remarque, moi non plus. A ma décharge, je suis en couple, contrairement à lui. J’ai été sympa et lui ai offert une seconde branlette espagnole avec la permission d’éjaculer sur mes gros seins, à la condition que je puisse me doucher, naturellement. J’ai fini l’affaire, ai pris une douche rapide, me suis rhabillée et ai repris un taxi direction le centre-ville…

 

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