Il n'y a pas si longtemps, lorsque nous en avions encore le
droit, je me suis arrangé pour donner rendez-vous à un couple avec qui j'ai
l'habitude de fricoter (enfin surtout avec la femme). Je leur ai proposé un
endroit dont j'avais entendu parler et qui était connu pour les rencontres
sexuelles en plein air. Bien entendu je leur avais expliqué mes plans pour ne
pas les prendre de court. Ils étaient tout excités car ils n'avaient jamais
essayé le dogging auparavant. Pour ma part je ne connaissais pas le terme
jusqu'à ce qu'ils m'en parlent. J'étais excité à l'idée d'avoir des relations
sexuelles à l'extérieur, avec la stimulation supplémentaire d'être peut-être
observé par des inconnus. Passons au rendez-vous.
Arrivé sur le parking, il a fallu marcher une bonne distance
pour se rendre à l'endroit des promeneurs coquins qui font plus que de profiter
de la campagne. Finalement, nous avons trouvé une clairière tranquille qui
semblait discrète. Marc a dit qu'il agirait comme guetteur au cas où quelqu'un
venait, puis il a disparu dans les fourrés.
Juliette et moi sommes restés un moment à nous regarder, nous nous sentions légèrement mal à l'aise. Pour faire retomber la tension gênante qui s'installait, nous avons commencé par un baiser. Juliette portait un jean moulant et un haut rose. J'ai glissé ma main autour de ses fesses et l'ai tirée contre moi. J'ai senti mon arbre durcir par anticipation et je lui ai dit qu'elle avait l'air magnifique et sexy. Nous nous sommes embrassés à nouveau pendant que je pressais mon sexe dur contre son entrejambe. Elle se frottait contre moi et je savais qu'elle devenait chaude entre ses jambes.
Juliette s'est agenouillée dans l'herbe, a déboutonné mon
jean qu'elle a tiré vers le bas avec mes sous-vêtements et ma bite a jailli.
Elle a immédiatement commencé à me sucer. Nous savions tous les deux que Marc
était dans les fourrés en train de nous regarder et très certainement de se
masturber. Juste au moment où ma bite a commencé à picoter agréablement, nous
avons entendu des gens parler qui passaient à quelques mètres de l'autre côté
de la haie. J'ai rapidement remonté mon jean et Juliette s'est relevée.
Impossible de savoir s'ils nous avaient vus ou pas. Nous avons ri : un
rire entre soulagement et nervosité. Il y a en effet un grand écart entre
fantasmer d'être pris la main dans le panier et la réalité d'être vraiment pris
en flagrant délit.
Finalement nous avons repris là où nous en étions restés.
J'ai senti sa main sur ma bite, j'ai remonté son haut et exposé ses seins au
monde extérieur. Nous étions en pleine chaleur et plus personne ne pouvait nous
arrêter maintenant. J'ai sucé ses mamelons, les ai mordillés du bout des dents.
J'ai entendu un bruissement dans les arbres d'un côté et j'ai repris conscience
que Marc nous regardait en train de branler sa bite.
J'ai abaissé le jean de Juliette puis l'ai penchée contre un
arbre. J'ai glissé sa culotte vers le bas et je me suis agenouillé derrière. J'ai
écarté légèrement ses jambes et avec mes pouces j'ai écarté ses fesses, avant
de goûter à son cul avec ma langue. J'ai entendu Marc grogner de plaisir tandis
que que je bouffais le cul de sa copine. J'ai sondé sa chatte avec mes doigts
par derrière, elle était mouillée et coulait comme un robinet. Je me suis
relevé et j'ai commencé à la baiser, m'assurant que Marc puisse clairement voir
mon arbre glisser dans et hors de la chatte de sa copine. J'ai repéré des gens
qui marchaient de l'autre côté du champ, mais je n'allais pas m'arrêter
maintenant, et Marc non plus. Je pense que nous faisions tous des bruits
d'animaux à ce stade. Je sentais ma bite et mes couilles qui atteignaient ce
point de non-retour. J'ai dit à Juliette que j'allais jouir. Je suis sorti
d'elle à la dernière seconde, elle s'est retournée d'une traite et s'est
agenouillée devant moi, la bouche ouverte. J'ai lâché prise : tout est allé
dans sa bouche. Mon sperme se répandait sur sa langue.
Je me suis retourné pour voir Marc tirer sa charge
dans l'herbe. Les gens qui marchaient de l'autre côté du champ avaient disparu.
Encore une fois impossible de dire s'ils nous avaient vus, mais on ne sait
jamais. Nous avons tous convenu que ce serait formidable de recommencer, mais
malheureusement la deuxième vague de confinement a empêché depuis que cela se
produise. J'espère que nous pourrons nous revoir bientôt lorsque le temps sera
meilleur.
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