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Accueil Blog libertin Du fantasme candauliste à la réalité : « Cela me flatte que mon patron apprécie mes fesses »

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Du fantasme candauliste à la réalité : « Cela me flatte que mon patron apprécie mes fesses »

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Un soir de la semaine dernière, alors que nous travaillions tard et que nous venions de débarrasser notre dernière table avant de faire le ménage, Paul m'a offert un verre. Après une longue soirée de travail, j'avais juste envie de boire une bonne bière bien fraîche. Il n'y avait donc pour moi aucune raison de penser qu'il allait se passer quelque chose.

Alors que nous étions assis à discuter autour de nos bières, nous plaignant du travail - les clients avaient été particulièrement chiants ce soir-là ? Paul m'a demandé comment allait Gaspard. Ils ne s'étaient plus parler depuis un certain temps. Cependant je pense que l'intention derrière cette question banale était autre. Toutefois j'ai fait la naïve et lui ai simplement répondu qu'il avait beaucoup de boulot ces derniers temps. Au même moment je me suis rendue compte que ma réponse pouvait être interprétée différemment. En toute vraisemblance Paul a compris que je me sentais seule, car il m'a demandée si ce n'était pas trop dur pour moi de passer si peu de temps avec lui. 

Comme je ne voulais pas entrer dans les détails, j'ai bu ma dernière gorgée et me suis levée pour nettoyer le bar. Je ne saurais dire comment, mais j'ai senti le regard de Paul se poser sur mes fesses alors que je m'éloignais. Et j'avais raison. Comment je le sais ? Le miroir derrière le bar l'a trahi. Bien que je n'aie jamais eu envie de lui auparavant, cela me flatte que mon patron apprécie mes fesses. J'ai balayé les derniers débris quand Paul est venu derrière pour attraper quelque chose sur le bar. Son entrejambe a effleuré mes fesses et j'ai senti un renflement, Je savais qu'il aimait mes fesses mais pas que ça l'excitait à ce point. Sans savoir pourquoi, j'ai décidé de ne pas bouger. Etait-ce l'alcool qui me faisait priser sa présence derrière moi ?


Expérience candauliste : « Il m'a attrapée par les hanches et m'a hissée sur le bar »

Paul a profité de ce moment pour se rapprocher. Son souffle dans mon cou s'est transformé en frisson excitant dans ma colonne vertébrale. Il avait dû sentir que je n'opposerais aucune résistance, car il a tracé une ligne douce avec ses doigts le long de mon bras, a attrapé ma main et m'a fait pivoter. Avant même que je puisse parler ses lèvres ont touché les miennes. Il m'a attrapé les fesses et embrassé avec passion. J'étais impuissante, mon esprit me disait de rompre le baiser, de m'extirper de ses bras, de rentrer chez moi. Mais je n'ai rien fait.

Ses mains se déplaçaient sur mon corps, me choyaient à des endroits que je n'ai pas besoin de nommer. Alors que je commençais à reprendre mes esprits avec soudain l'intention de l'arrêter et de partir, il a déplacé ses lèvres vers mon cou, mon point faible. Il n'y avait aucun moyen d'enrayer la machine. Il a ôté ma chemise, dégrafé mon soutien-gorge avec précision, puis il m'a attrapée par les hanches et m'a hissée sur le bar, et de m'embrasser passionnément, puis de descendre avec de doux baisers sur mon ventre dénudé.

L'excitation m'avait gagnée. Alors qu'il arrivait à mon jean et le déboutonnait pour le retirer, j'ai remercié intérieurement Gaspard, car il m'avait incitée à porter des sous-vêtements coquins. J'étais tellement mouillée que je suintais à travers ma culotte que je n'ai pas gardée longtemps.

L'air frais a chatouillé mon entrecuisse humide. Paul a passé sa langue sur ma fente. Puis, alors qu'il s'approchait de mon clitoris, il a commencé à faire de petits cercles autour. J'étais déjà si proche de jouir. Il l'a senti et a accéléré la cadence. Je l'ai arrêté, puis je suis descendue du bar.

Je l'ai aidé à retirer sa chemise. Il était bien plus musclé qu'il n'en paraissait tout habillé. J'ai fait courir mes doigts le long de sa poitrine et de son ventre, cherchant sa boucle de ceinture avec impatience pour libérer la bosse dans son pantalon. J'ai eu une agréable surprise, je n'avais pas imaginé qu'il serait aussi grand. Sa bite devait faire environ vingt-cinq centimètres de long au garde-à-vous. Elle était aussi dure que de l'acier. Je l'ai attrapée, pouvais sentir la chaleur qui en émanait. Je l'ai lentement léchée de la base jusqu'à son énorme bout rose. Cette bite était magnifique. Ma langue dansait et tournoyait autour de la pointe qui faisait sortir de la gorge de Paul des gémissements de plaisir qui m'excitaient encore davantage.

La suite la semaine prochaine. 

1 commentaire

dameric1140
Le 9 juillet 2021
J'ai hâte de lire la suite
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