Sabrina ressentait la même chose que moi, à l'exception
qu'elle ne semblait pas se douter de l'impact de Katie sur notre relation.
« Apparemment, dit-elle, il faut beaucoup de travail
pour maintenir ce type de relation » Elle avait compris que cela
nécessitait une certaine constance. Cependant il aurait également été possible
de n'adopter le rapport de domination que dans notre sexualité. A vrai dire il
semblait que notre quotidien prenait une tournure sexualisée au possible. Je ne
peux pas affirmer que c'était exactement ce que je souhaitais mais j'étais
subjuguée par cette nouvelle Sabrina sûre d'elle.
Malgré sa nouvelle confiance en elle, elle me pria de garder
secret cet aspect de notre relation. Hormis Katie, personne ne le saurait, tel
était son souhait. Je comprenais, je dirai même, que cela m'arrangeait bien. Ce
n'est pas le genre de chose que l'on raconte volontiers en société, d'autant
plus dans mon métier.
Elle me demanda alors si elle pouvait en informer Katie. Je
compris alors que Sabrina avait été naïve. Elle s'était faite manipulée par
Katie, du moins c'est ce que je croyais sur le moment. Mais quoi qu'il en
advienne c'était un mal pour un bien puisque nous redécouvrions notre couple.
Trois jours plus tard, Sabrina vint à moi pour me parler :
« Il y a quelque chose que j'aimerais te dire. Katie avait
ce même genre de relation avec David avant l'accident. En fait, elle m'a un peu
entraînée sur la façon dont tout cela fonctionne. » Elle me demanda si
j'étais en colère et si cela me surprenait. J'avais envie de sourire mais j'ai
préféré la préserver.
« Euh? oui, ça me surprend, mais ça ne me met pas du tout en colère. C'est très bien comme ça », ai-je dit en essayant de rester posé.
Sur ce elle m'ordonna de remettre ma ceinture de chasteté,
puis d'aller faire le plein pour elle. Cela n'était que de petits ordres mais cela
donnait le ton. Cela continua pendant un certain temps. Sabrina me demandait
d'exécuter de petites tâches du quotidien. Je le faisais avec plaisir en
attendant tout de même qu'elle me libère du joug de ma ceinture de chasteté. Ce
qui me faisait vivre le plus d'émotions et de sensations, c'était justement
cette attente.
Au bout de quelques mois, alors que j'étais seul à la
maison, Katie vient me retrouver dans mon bureau. Elle était habillée en tenue
de cuir. A la simple vue de cette beauté, j'ai eu un début d'érection qui me
fit très mal. Katie savait très bien que je ne pourrais rien faire étant donné
que Sabrina ne rentrerait que le lendemain et que c'était elle qui avait la clé
pour me délivrer. Katie a joué avec mes nerfs et mon excitation pendant plus
d'une heure. Elle me mordillait l'oreille, me soufflait des cochonneries, me
disait qu'elle voulait que je la prenne en levrette, que je lui donne la
fessée, que je lui la foute dans le cul. Elle m'attacha à la chaise et se mit à
me toucher sans retenue.
Même après plusieurs
mois d'habitude à l'abstinence, je ne pouvais plus tenir en place. Pourtant il
n'y avait strictement aucune chance que je puisse me libérer de mon carcan et
donc aucune chance pour que je puisse baiser Katie qui augmenta encore la pression
en me foutant sa chatte mouillée à quelques centimètres de ma bouche. J'aurais
aimé la léché mais elle prêtait attention à rester à distance. Ce petit jeu de
domination et soumission continua pendant d'atroces minutes. Puis elle repartie
sans rien dire, me laissant attaché à la chaise. Ce n'est que le soir qu'elle
est venue me libérer. Cette fois-ci elle était complètement nue. Mais rien n'à
faire, je ne pouvais pas profiter de ce corps dénudé.
Le soir elle m'expliqua
que son travail était terminé et qu'elle allait repartir chez elle. Il fallait
que je continue comme cela. Elle était fière de moi et me donna un baiser sur
la joue :
« Sois au service de ta femme, rends-la heureuse et
elle te le rendra. »
Sur ces paroles elle partit. J'étais triste. Je m'étais
habitué à sa présence. Je pensais alors qu'elle laisserait un grand vide dans
la maison. Mais au final son ombre planait toujours au-dessus de nos têtes.
Katie avait réussi à se rendre indispensable sans même avoir besoin d'être
présente.
Depuis lors Sabrina m'octroie quelques plaisirs sexuels
quand elle en a envie. Elle côtoierait en ce moment un amant qui me rend fou de
jalousie, d'autant que je ne les ai jamais vus ensemble. C'est Katie qui me
murmure leurs aventures à l'oreille. Va savoir si cela est vrai ou non. Quoi
qu'il en soit, je demeure un mari soumis ne souhaitant qu'une chose : le
bonheur de son épouse.
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