Le blog de de la rencontre échangiste

C’était par une radieuse après-midi d’hiver. Le soleil inondait le un ciel azur de ses rayons qui miroitaient sur le bitume recouvert d’une fine couche de gel. A la base, Patrice et moi étions montés sur Paris pour faire du lèche-vitrine, sans savoir que l’envie de faire l’amour allait nous surprendre…

Nous nous baladions main dans la main sur les Grands Boulevards, scrutant les devantures à la recherche d’une petite tenue sexy. Après quelques minutes de marche sur l’avenue, nous avons pénétré une boutique qui nous avait fait de l’œil. Patrice avait remarqué une nuisette noire et légère qui me siérait à merveille. Il a saisi un modèle de taille 36 et nous nous sommes dirigés vers les cabines d’essayage. Il n’y avait ni personnel, ni clientèle, alors nous avons sauté sur l’occasion pour entrer tous les deux dans la cabine comme deux amoureux pleins de fougue.

Histoire coquine : « La fellation m’émoustille »

Patrice a commencé à me déshabiller tout en me bécotant dans le cou. Je faisais montre d’un peu de retenue, mais intérieurement je frémissais de braver l’interdit. Mes tétons étaient durs, et ma petite culotte déjà chaude et humide. Mais je luttais. Vainement. Je savais que je me laisserai prendre au jeu. Patrice devenait de plus en plus coquin. Ses mains baladeuses courraient sur mon corps déjà presque dénudé. Il ne me restait en effet que ma culotte et mon soutien-gorge.

Avant de s’assoir sur la petite banquette, Patrice m’a fait enfiler la tenue qu’il m’avait choisie. Je me suis exécutée docilement. Bien que nous étions à l’étroit, je me suis trémoussée pour lui. Son sexe prenait de plus en plus d’ampleur et de place dans son pantalon. Je me suis agenouillée pour libérer son beau et long pénis de son étau et j’ai commencé à le sucer. J’aime sucer mon homme. La fellation m’émoustille, bien plus encore que de me faire brouter le minou. A peine son pénis en bouche que j’avais déjà salopé la nuisette de ma mouille chaude.

Histoire coquine : « Quelqu’un nous avait-il surpris ? »

Je branlai son membre dans ma gorge, l’humidifiait de temps à autre avec ma langue brûlante et saliveuse. Tout ça en le regardant droit dans les yeux avec mon regard de coquine. Patrice profita encore un instant de la gâterie. Puis il me fit signe de me relever. Il me tourna avec brusquerie et pénétra mon pot à miel. Je ne pus m’empêcher de lâcher un léger gémissement. Pour que mes gémissements n’éveillent pas les soupçons, Patrice a mis sa main sur ma bouche. Les va-et-vient s’intensifiaient. Je n’étais pas loin de jouir. Mais il s’arrêta brusquement de bouger. Un rire avait résonné dans la cabine voisine. Quelqu’un nous avait-il surpris ? Malgré l’envie qui nous démangeait, nous nous sommes rhabillés en silence, avant de sortir ni vu ni connu de la cabine où nous avions laissé la nuisette.

Deux heures plus tard, nous étions à la maison et nous avons pu finir notre affaire dans l’intimité de notre couple…