Le blog de de la rencontre échangiste

Tout ce que je compte relater maintenant, s'est déroulé il y a trente ans. Je m'en souviens encore très bien. C'était notre jeunesse. J'étais déjà en couple avec Catherine. Nous trainions nuit et jour avec Carl et Sylvie. Nous étions tous les quatre du même âge, avions les mêmes loisirs, les mêmes objectifs dans la vie. 

A l'époque, nous étions sur le point d'obtenir notre licence. Nous étions amis depuis le premier jour de fac et faisions tout ensemble, surtout la fête. La vie étudiante, pour résumer. Nous nous sommes beaucoup amusés. En discothèque, nous nous amusions déjà à échanger nos partenaires pour danser, sans qu'il n'y ait vraiment d'arrière-pensée.

Mon ami et moi étions des photographes passionnés, et nous nous étions organisés une petite chambre noire pour le développement des photos. A cette époque, il n'y avait pas de numérique, il fallait développer soi-même ses photos, souvent en noir et blanc. Un jour nous est venue l'idée de faire une petite séance photo avec nos petites amies.
 

Nous avions fixé le rendez-vous dans ma petite mansarde pour la séance photo. Les deux filles étaient très excitées à l'idée de poser pour nous. Les deux étaient blondes, avaient à peu près la même stature, la même taille. Seuls leurs sourires et leurs les styles vestimentaires les distinguaient l'une de l'autre. Mon ami et moi avions bon goût quand il s'agissait de femmes.

Echange de partenaire : « D'un coup je tenais le sein de l'amie de mon ami »

Après quelques portraits habillés, les filles ont voulu se mettre autrement en valeur et elles se sont déshabillées, lentement. L'une portait des sous-vêtements blancs, l'autre un soutien-gorge et une culotte noirs. Parfait pour le contraste, d'autant que nous avions décidé de faire des photos en couleurs. Elles posèrent dos à dos, puis se firent face, s’étreignirent comme deux bonnes amies. La température était déjà montée d'un cran : les soutiens-gorge ont sauté, puis les petites culottes. Nous, les photographes, avions de plus en plus chaud.
 
Alors qu'au début nous les guidions, les filles ont agi de plus en plus par elles-mêmes. Elles s'allongèrent sur le lit et multiplièrent les positions différentes : dos à dos, face à face, les mains commençaient à se balader sur leurs corps nus. Et là, stupeur ! Elles s'embrassèrent. Puis j'ai eu une nouvelle idée. J'ai demandé à mon ami de les rejoindre. Il s'est rapidement déshabillé et j'ai continué à prendre des photos. Les filles avaient les mains de plus en plus baladeuses. Au bon ami qu'il était, il m'a proposé d'en profiter à mon tour, il a continuerait de prendre des photos. 
 
Parfois, ma copine était allongée sur le côté devant moi pendant que je la serrais dans ses bras par derrière, tandis que l'autre me serrait dans ses bras par derrière. Et de changer à nouveau de posture. D'un coup je tenais le sein de l'amie de mon ami entre mes mains. J'étais dans son dos, ma raideur appuyée contre ses fesses. Le clin d'œil de mon ami marquait son marqué son approbation. Il était aussi raide que moi.

Echangisme : « j'ai glissé ma latte entre ses cuisses »

Pourtant nous avons laissé redescendre la tension, nous voulions profiter plus longtemps du moment. Nous nous sommes donc arrêtés pour recueillir de nouvelles idées créatives. L'alcool coulait et les idées bouillonnaient dans nos esprits alcoolisés. Les filles avaient envie de jouer des scènes lesbiennes. Nous étions évidemment d'accord. Elles se caressaient la peau, s'embrassaient, se pétrissaient les seins, se suçaient. Mon ami et moi cliquions sur nos appareils comme des acharnés. Difficile de se retenir dans pareille situation. Mais nous restions pros. 
 
Tout à coup, les filles se sont levées, nous ont jeté des regards désireux en nous demandant si nous avions apprécié leur spectacle. Lui et moi avions l'air un peu stupide à hocher de la tête sans pouvoir dire un mot intelligent. Les filles rigolèrent et se tapèrent dans les mains, comme si elles avaient gagné un match.
 
Mon ami et moi avons attrapé nos partenaires respectives et les avons lancées sur mon lit. 

Elle était déjà mouillée et j'ai mis deux doigts dedans. Elle se tortillait de plaisir et me pressait contre son clitoris. Un regard sur le côté m'a confirmé qu'ils en étaient à peu près au même pont.
J'ai tourné ma copine de côté, me suis mis derrière elle, de telle façon que nous puissions les voir. Ils nous ont alors imités. Puis j'ai glissé ma latte entre ses cuisses. Je bougeais lentement et doucement entre ses cuisses. Je ne voulais surtout pas jouir trop vite.
 
Mon ami en faisait de même : nous étions tous les quatre sur la même longueur d'onde. La main de mon ami vint se poser sur la poitrine de Catherine. Je me suis dépêché de l'imiter. Et puis quelque chose se passa qu'aucun de nous, hommes, avions attendu.

« J'ai pénétré sa copine »

Les filles se retirèrent de notre emprise et échangèrent leur place. J'ai eu soudain sa petite amie dans mes bras et il avait la mienne. Chacune blottit son cul contre nos queues respectives pour que nous les pénétrions. Sa petite amie lui murmura : " baise-la". Il ne se fit pas prier. J'ai vu son visage extatique et j'ai pénétré sa copine. 

 À chaque poussée, ses fesses vacillèrent. Les deux filles se mirent à quatre pattes, face à face. La finition était presque bestiale. Nous avons gémi, crié et haleté comme lors d'une victoire sportive. Personne ne savait distinguer les gémissements des uns et des autres.
 
Puis le calme plat. Seuls de légers halètements flottaient dans l'air. Nous étions lessivés. Nous nous sommes allongées aux côtés de compagnes respectives et avons somnolé pendant plusieurs heures. 
 
Comme je l'ai dit, cela fait trente ans, et j'y pense toujours. J'ai numérisé les photos de cette première extase sexuelle qui en appelèrent bien d'autres....