Pendant les deux mois qui ont séparé son premier rendez-vous
du prochain, la vie commune avait été belle. Le grand soir approchait à grands
pas.
Encore une fois, je l'ai regardée se préparer. Une fois de
plus, elle était fabuleuse. Mon estomac faisait à nouveau des siennes, pas
autant que pour la première fois, mais j'étais teinté d'excitation. Elle est
rentrée plus tôt qu'elle ne l'avait fait lors de sa première sortie. Je
l'attendais. Quand elle est entrée, je lui ai littéralement sauté dessus. Je
l'ai embrassée. Ce n'était pas d'une manière affectueuse mais d'une manière
énergique. Nous avons eu un rapport sexuel déchaîné dans le couloir. C'était passionné,
mais très agressif. C'était un comportement animal, je récupérais ce qui
m'appartenait.
Quand nous avons fini elle m'a demandé d'où cette énergie me
venait.
- Je ne sais pas, répondis-je avec un rire gêné avant
d'ajouter sur le ton de la rigolade, c'est bon maintenant, ce fou est parti.
- C'est dommage ! Elle a dit cela sur un ton humoristique,
je l'aimais bien.
Nous avons ri et pendant que je nous préparais un verre,
Caroline s'est nettoyée.
Je voulais maintenant savoir comment s'était passée sa
soirée et pourquoi elle était revenue plus tôt que prévu.
Caroline et son amant avaient fait l'amour deux fois. La première fois avait été rapide : Jupe relevée, la culotte déjà retirée dans l'ascenseur. Elle avait joui avec ses jambes autour de sa taille, soutenue par le mur : « C'était si bon de le sentir battre en moi. » Ils étaient alors montés à l'étage. Il l'avait déshabillée, cette fois-ci lentement, l'avait couchée sur le lit, puis avait caressé son corps nu. Cela a évolué vers un massage lent et sensuel de ses pieds à ses épaules, évitant soigneusement sa chatte pour construire le désir d'anticipation qui permettrait d'atteindre les sommets. Le temps que ses doigts aient redescendu, sur ses seins et sur ses côtes, elle était mouillée.
Ils s'embrassaient passionnément tandis que ses doigts
bougeaient avec expertise autour de son clitoris tout chaud, le taquinant,
l'encourageant doucement à sortir de sous sa gaine protectrice. Le moment venu,
il glissa un doigt au fond d'elle. Son pouce travaillait le clitoris, tandis que
son doigt forait son entrejambe. Elle jouissait à nouveau. Mais ce qu'elle
désirait maintenant c'était sa bite.
Après avoir joui et retrouvé son calme, elle l'avait supplié
de la baiser. Elle l'a poussé et s'est déplacé sur le devant, levant ses fesses
en l'air. Il n'avait pas eu besoin d'être sollicité deux fois et la pénétra par
derrière. Même s'il avait une bite de bonne taille, elle entrait facilement. Il
plaqua sa tête sur l'oreiller et la fit jouir encore deux fois avant son propre
orgasme. Il a déchargé en elle. Ils se sont effondrés en un tas de sueur.
Satisfaite, la chatte palpitant encore un peu, elle s'habilla et partit.
En l'écoutant décrire sa soirée, deux choses m'ont frappé.
La première c'était son langage qui était normalement si guindé. L'entendre
dire qu'elle s'était faite « baiser » était inhabituel. La deuxième
chose était à quel point cela m'avait donné des sueurs. Nous nous sommes
dirigés vers la chambre et avons baisé deux fois. Son souvenir de la soirée
l'avait évidemment échauffée aussi ; elle était trempée quand nous sommes
arrivés dans la chambre.
Ce n'est qu'à son prochain rendez-vous que je me suis
considéré comme étant dans une relation candauliste. Jusqu'à présent, dans mon
esprit en tout cas, il s'agissait davantage d'un scénario de type épouse
échangiste à sens unique. C'était sur le point de changer !
Ce devait être encore tard dans la nuit. Caroline m'avait
dit de ne pas attendre. En fait, elle avait même insisté pour que je sois au
lit à son retour.
Il était près d'une heure du matin lorsqu'elle revint. Cette
fois, elle vint directement me voir.
Elle entra dans la pièce sombre. Bien que j'eusse essayé, je
n'avais pas dormi. La lumière du couloir m'aveuglait presque alors qu'elle se
tenait dans l'embrasure de la porte. Je distinguais des talons aiguilles, des
bas, pas de jupe ni de culotte, son chemisier ouvert, les seins soutenus par
son soutien-gorge en dentelle.
Elle bougeait lentement maintenant, m'encourageant à
profiter de la vue. Elle est venue et s'est tenue à côté de moi, puis a poussé
ma tête sur l'oreiller.
J'ai été baisée de manière insensée ce soir, ma petite
chatte s'est faite martelet et maintenant tu? Elle a fait une pause pour
l'effet. Tu vas l'apaiser.
Sur ce, elle est montée sur le lit, a coincé ma tête entre
ses jambes et a abaissé sa chatte jusqu'à ma bouche.
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