Le blog de de la rencontre échangiste

Les rencontres inattendues sont souvent les plus singulières. Ce sont d’ailleurs celles dont on se souvient peut-être le mieux. J’en ai fait l’expérience l’été dernier alors que j’étais en vacances avec mon mari sur la Côte-d’Azur. Je dis avec mon mari, mais en réalité il est toujours tellement pris par le travail que je passe la plupart de mes vacances seules. Sauf que cette fois-là, j’ai trouvé un peu de compagnie pour me réconforter…

C’était par une matinée étincelante. Comme mon mari avait dû prendre l’avion en urgence pour un meeting de « grande importance », je me suis retrouvée seule à ne pas trop savoir quoi faire. J’ai pris le petit déjeuner à l’hôtel, puis, vers dix heures du matin, je suis sortie me balader sur la plage. Le soleil irradiait la mer et le sable fin et déjà chaud. Je portais une tenue légère : Minishort blanc, petit haut rose, claquettes et sac de plage. Sous mes habits, j’avais mon maillot de bain, au cas où l’envie de me rafraîchir me prendrait. Sans oublier les lunettes de soleil, cela va de soi.

Cheveux lâchés dans le vent, j’ai marché une bonne demi-heure sur la plage, jusqu’à ce que je trouve un spot agréable pour faire bronzette. J’ai déployé ma serviette de plage, me suis délestée de mon minishort, de mon top et de mon haut de maillot de bain. J’ai horreur des traces de bronzage. Puis je me suis allongée sur le dos, ai fermé les yeux et me suis laissée bercer par le bruit des vagues. Au bout de quelques minutes d’apaisement, une voix masculine m’a sortie de ma torpeur. Cette voix grave et douce à la fois m’a intriguée. Comme j’avais l’impression qu’elle s’adressait à moi, j’ai ouvert les yeux.

Histoire de sexe : « J’ai omis de dire que j’étais mariée »

Un homme bien taillé, habillé d’un pantalon en lin blanc, d’une chemise bleu azur et de sandales, se tenait devant moi. Il m’avait en effet adressé la parole. Je l’ai dévisagé de haut en bas et je n’ai trouvé rien de mieux à dire que « oui ». Il m’a demandé alors s’il pouvait me porter compagnie. Ses mots étaient si courtois que je ne pouvais que dire « oui ». Il s’est assis à mes côtés et s’est présenté.

Il s’appelait Denis, avait 26 ans et travaillait dans l’immobilier. J’aime quand les hommes sont concis dans leur présentation et quand ils font montre d’intérêt pour leur interlocutrice. Je me suis présentée à mon tour, en oubliant de préciser mon âge. Que ferait un jeune homme avec une femme de plus de 40 ans ? J’ai donc laissé planer le doute. Comme je voulais profiter de ce moment qui avait tout du flirt, j’ai omis de dire que j’étais mariée. Malheureusement, Denis était un peu trop attentif, et il avait donc remarqué ma bague.

Certainement par excès de courtoisie, il m’a demandé s’il ferait mieux de partir pour ne pas me mettre dans l’embarras au cas où mon mari venait à débarquer. J’ai apprécié sa sollicitude, mais j’appréciais encore plus sa présence. J’ai donc dit que mon mari m’avait laissée en plan en plein milieu de nos vacances. Comme toujours. Il s’en est excusé. Mais il n’avait pas à le faire. Je ne sais pas alors ce qui m’a pris. Je lui ai demandé s’il voulait déjeuner avec moi. Il a souri et m’a répondu « avec grand plaisir ».

Histoire de sexe : « Ce baiser interdit… »

Le repas avait été délicieux, tout autant que notre conversation qui s’était étendue jusqu’à trois heures de l’après-midi. Le soleil cognait fort et j’avais oublié ma crème solaire à l’hôtel. Encore une fois, je ne sais pas ce qui m’a pris. Je lui ai demandé de m’accompagner, puis je l’ai fait monter dans ma chambre. En grand gentleman, il n’a pas décliné mon invitation.

Nous étions tous les deux au milieu de la pièce et je sentais l’excitation monter en moi. Denis était calme comme la mer après l’orage. Mais je lisais son désir dans ses yeux bleus. Se sentir désirer par un beau jeune homme. Que demander de plus ? De me passer de la crème solaire sur le dos...

Ses mains étaient douces, ses gestes habiles et subtiles. Je me suis laissé emporter par une vague de désir. Je me suis tournée vers lui. Mon regard oscillait entre ses yeux azur et ses lèvres, pulpeuses juste ce qu’il faut, qu’il posa délicatement sur les miennes.

Ce baiser interdit me donne encore des frissons dans tout le corps. J’avais très envie de lui. Et lui de moi. Mais pour m’en assurer, j’ai glissé ma main dans son pantalon. Il était dur et regardait vers le ciel. Je l’ai caressé, avant de me mettre à genoux pour le couvrir de baisers et de coups de langue. Nous avons fait l’amour dans la foulée et nous avons joui ensemble.

Je venais de tromper mon mari pour la première fois, et pourtant je ne ressentais aucun remords. Aujourd’hui encore, je ne regrette pas ce moment d’égarement…