Le blog de de la rencontre échangiste

C'était une froide matinée d'hiver et j'étais en colère contre Thomas, mon petit ami qui se défaille toujours après avoir rempli ma chatte de sperme. La qualité des rapports sexuels que nous avions quand nous avons commencé à sortir ensemble me manque. Les premiers temps, rien que la pensée de la façon dont sa bite dure écarterait ma chatte, me faisait mouiller instantanément.

Cette matinée-là, Je ne supportais pas son ronflement, alors je suis allée prendre une douche. J’en ai profité pour jouer avec moi-même, chose que je n’avais plus faite depuis un bail. Je pouvais sentir mon jus descendre le long de mes cuisses. Mes doigts glissaient de plus en plus facilement dans ma chatte. J'étais tellement chaude et j'avais besoin de bite et pas seulement de bite, j’avais besoin d’une bite capable de me baiser dur. Je ne voulais ni amour ni passion, je voulais du sexe, rien que du sexe et, au mieux, du sexe hard.

Thomas m'a rejoint sous la douche, m'a baisée quelques secondes et s’est déversé dans ma chatte avant même que je puisse même soulager ma frustration sexuelle. Il m'a laissé sous la douche, toujours excitée et il est parti travailler. Je suis sortie et je me suis réchauffée. J’étais terriblement frustrée, alors je me suis allongée sur le canapé et je me suis masturbée.

Infidélité : « J’ai pris sa main et l’ai guidée vers… »

Alors que mes doigts étaient toujours enfouis dans ma chatte humide, je me suis levé et j'ai baissé ma jupe pour ouvrir la porte qui venait de sonner. C'était mon voisin. Il voulait me prévenir de la fête qu’il comptait organiser ce soir et me dire que je pouvais venir avec Thomas si nous en avions envie. Je lui ai retourné l’invitation et lui ai offert de venir boire un café. Mais il n’avait pas le temps. Un peu vexée, je lui ai dit que je ne pourrai certainement pas venir le soir.

Plus tard dans la soirée, alors que Thomas ronflait devant la télé, je suis montée à l’étage. Il n’était que quatre. Des hommes bien bâtis. Ils étaient accueillants et très charmants. J'étais nue sous ma jupe et encore mouillée depuis ce matin. Le fait d’être entourée d'hommes ne m'a pas facilité la tâche. Les gens sont arrivés peu à peu. J’ai sympathisé avec un des gars qui m'a demandé si je voulais prendre un verre chez lui après la soirée.

J’étais tellement énervée contre Thomas que, après quelques verres, nous sommes allés chez lui. Il a commencé à me chatouiller les côtes. Je lui ai mordillé le lob de l’oreille. J’ai pris sa main et l’ai guidée vers ma chatte humide nue. Il avait les mains douces, tout comme ses gestes qui étaient souples.

« Tu es mouillée ».

Et moi de lui dire « chut ».

Histoire d’infidélité : « Telle une amazone »

Il a glissé deux de ses gros doigts dans ma chatte et a commencé à me doigter. C’était si bon, j'ai senti un gémissement s'échapper de mes lèvres. Après avoir joué avec ma chatte, il s'est agenouillé et a commencé à me goûter. J’ai gémi si fort que cela ressemblait à une supplique l’implorant de me baiser. Il a enlevé son pantalon et m'a baisé avec vigueur. Il s’est mis à me porter. Cela faisait des années que personne ne m’avait baisée ainsi. Il était fort et puissant. Il m’a ensuite mise au sol : j'étais désormais à quatre pattes. Il me donnait des noms sales, comme « salope ». J'ai bien aimé cette violence relative qui me faisait défaut depuis que j’étais en couple avec Thomas.

Il s’est ensuite assis sur le canapé pour que je le monte telle une amazone. Je me suis laissée emportée par l’excitation et je l’ai chevauchée comme une guerrière. J’étais inarêtable, complètement prise au jeu. Il s’est mis à me doigter le cul et j’ai eu un frisson dans tout le corps. C’était la première fois qu’on me doigtait le cul. J’ai eu l’impression que cela augmentait les sensations et la jouissance. J’ai alors voulu tester un truc de fou : je lui ai dit de me prendre par le cul mais d’y aller doucement. Il est sorti de ma chatte et, dans la même position, a enfoncé le bout de son gland dans mon cul. J’en ai crié. Petit à petit son sexe s’enfonçait de plus en plus profondément. C’était tout de même moi qui donnais le rythme. Puis il m’a dit qu’il allait jouir. Je l’ai laissé jouir sur les fesses. J’aime cette chaleur.

Il m’a proposé de rester dormir mais je suis rentré à la maison après avoir pris une douche. Quand je suis rentrée, Thomas ronflait toujours sur le canapé et je me suis dit qu’il serait peut-être temps d’en changer…