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Histoire pornographique : « Glisse mes doigts le long de mon clitoris »

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J'ouvre la porte de la chambre et la première chose que mon regard capte c’est la baignoire jacuzzi dans le coin. Je me languis déjà de sombrer toute entière dans l'eau brûlante. Tandis que mon rencard Tinder règle l'éclairage, j’ouvre les vannes de la baignoire en me demandant comment il va me prendre en premier. Mais je n’en dit pas un mot. J’aime quand les hommes prennent les initiatives.

La baignoire est enfin pleine. La vapeur s’échappe et donne un peu plus de volupté au moment. Il se déshabille lentement en me regardant. Nous ne nous sommes pas encore vraiment parlé. Je crois d’ailleurs que nous n’avons pas grand-chose à nous dire. C’était clair depuis le début : on s’est matché pour une seule chose : profiter du moment sans penser.

Je m’adosse à la baignoire, je glisse ma main sous ma culotte et je caresse mon clito. Il me regarde. Son sexe se dresse lentement. J’écarte mes lèvres avec mes doigts et j’en enfonce un dans mon petit trou. Il fait chaud, je transpire. Mon doigt est toujours dedans. J'aime me toucher sous le regard des hommes. Je pourrais atteindre l’orgasme seule. J'essaie de respirer calmement mais ma poitrine frémit et mes tétons durcissent comme son sexe décalotté. Tout mon corps tremble et je sens de l'électricité dans la plante de mes pieds. Je fronce les orteils et cela ne fait qu'intensifier les sensations.

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Histoire pornographique : « Des gouttes perlent le long de ma cuisse intérieure »

Il est toujours à quelques mètres de moi. Il me regarde avec désir. Je prends des poses provocantes pour l’exciter plus encore. Mes seins, mes cuisses, ma taille, mes hanches, mes fesses : je touche chaque partie de mon corps de braise dans des mouvements lents et sensuels, avec quelques pauses pour faire monter la tension. Son pénis si parfait est encore dur : je suis ravie. Il peut rester dur pour toujours. Il me lance des regards chauds et me dit maintenant comment poser. Sa voix grave et autoritaire me fait mouiller. Des gouttes perlent le long de ma cuisse intérieure. J’ai le dos cambré, les fesses en l'air. Je tiens mes lèvres ouvertes et glisse mes doigts le long de mon clitoris. Je gémis.

« Prends-moi, baise-moi. »

Et de m’agenouiller sur le bord du lit, avec mon cul en l'air. Enfin ! L’extase ! Il a enfoncé sa queue en moi. Le sentiment intense d'être rempli si vite et si profondément par lui me fait haleter. Un gémissement profond s’échappe de plus profond de moi.

Mes cuisses sont si serrées l’une contre l’autre qu'elles tremblent presque. Je commence doucement à jouir. Il faut qu’il accélère et il l’a bien senti. Il pose ses mains sur mes hanches et pousse de plus en plus fort. Son rythme s’accélère comme sa respiration. Je respire de plus en plus fort. J’essaie de me contrôler pour ne pas jouir tout de suite. Mais c’est plus fort que moi. Je bouge mon cul contre lui. Je cambre mon dos, arque mes pieds, resserre ma chatte pour mieux l’emprisonner, pour mieux le sentir contre mes parois chaudes. La tension dans mon corps est montée crescendo et a atteint son apogée : « Plus fort ! Baise-moi plus fort ! Je vais jouir ! »

Histoire pornographique : « Sa queue est pleine de mon jus »

Je le supplie maintenant de jouir en moi et je peux entendre ses grognements. Je sais que je suis si serré et humide à l'intérieur et je sais qu'il peut sentir les spasmes à l'intérieur de moi, les spasmes autour de sa queue. J’absorbe sa queue tout entière dans ma chatte. Ses mains chaudes agrippent ma minuscule taille. Il me caresse les hanches puis me frappe les fesses avec la paume de sa main. Les orgasmes reviennent par vagues, à l'intérieur de moi, dans mon clitoris et même mon cul jute de plaisir.

Sa queue est si dure, si grosse qu’on pourrait la prendre pour un gode géant. J'essaie de reprendre mon souffle mais il me baise sans relâche. Je voudrais avoir une bite à sucer en même temps. J’ai tellement envie de le sucer que je l’implore de me jouir dans la bouche comme convenu lors de nos échanges de messages. C’est mon fétiche oral qui reprend le dessus. Je libère son sexe et me tourne comme une furie pour le sucer. Sa queue est pleine de mon jus.

« Crache-moi dans la bouche » dis-je entre deux respirations. Je le branle et tire la langue pour recevoir son jus. Il m’éclabousse le visage. Il y en a dans le nez, près de l’œil, dans mes cheveux et une bonne dose sur ma langue. Je récolte tout le sperme avec mes doigts et le déguste en le regardant comme une salope.

Nous avons fini la nuit entre le jacuzzi et le canapé où nous avons baisé trois fois encore. Je n'aurais pas pu demander une meilleure baise.

 

 

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