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Histoire érotique : « Le désir qui me ravageait depuis plusieurs heures »

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Plusieurs heures que je l’attendais en me passant la langue sur mes lèvres rouge passion. Je languissais, brûlais de désir dans ma jupe portefeuille moulante et mon petit chemisier blanc à moitié déboutonné. Comme d’habitude, je ne portais pas de culotte. Je sais qu’il aime cela. Les porte-jarretelles aussi. Alors j’en avais enfilés pour lui faire plaisir. Mais c’est toujours la même chose avec lui : quand il daigne me rendre visite, c’est toujours avec du retard. Et parfois même il ne vient pas, puis ne donne aucun signe de vie pendant plusieurs semaines. Même quand il me promet de passer, je me demande continuellement si sera le cas. Cela me rend folle. Cette fois-là encore, j’ai dû m’armer de patience pour ne pas sombrer dans la frustration.

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Minuit approchait et il n’était toujours pas là. Des gouttes de désir commençaient à perler dans ma nuque, sur mes reins, dans mon entrejambe. J’étais à cran et il en fallait peu pour que je me satisfasse seule. J’allais perdre espoir quand la sonnette sonna qui résonna jusque dans mon ventre. Etait-ce lui ? Avec ce genre d’homme, le doute est permis. J’ouvris. Enfin ! Son timbre de voix me transmit un frisson qui parcourut mon corps tout entier. Mon cœur battait la chamade. Mes sens étaient en ébullition. La porte de l’ascenseur se referma, le son de ses talons se rapprocha. J’ouvris grand la porte et il dut lire dans mes yeux le désir qui me ravageait depuis plusieurs heures. Ses yeux brillaient également. Il me fit un baiser dans le cou qui déclencha une vague de frissons dans ma colonne vertébrale. Il entra. Je refermai derrière-lui. Pour quelques heures, il m’appartenait, et je lui appartenais.

Histoire érotique : « Je fis remonter légèrement ma jupe »

J’avais prévu une bouteille de champagne pour l’occasion, mais comme il était arrivé en retard, je n’avais qu’une envie : lui sauter dessus. Ou plutôt qu’il me saute. Littéralement. Je ne tenais plus en place. Alors j’ai dansé pour lui en me dénudant. Je sais qu’il aime quand je me déhanche. Il était assis, les jambes croisées sur le fauteuil du salon illuminé par quelques bougies et une petite lampe au teint rouge. J’étais comme en transe. Mon corps bougeait au rythme de mon désir grandissant. J’étais dos à lui, à portée de mains.

Les règles du jeu étaient claires entre nous : il ne devait me toucher qu’au moment où je ne pourrais plus tenir. Les jambes tendues et le dos courbé devant lui, je fis remonter légèrement ma jupe pour qu’il entraperçoive ma fleur qui était épanouie. Je sentais son souffle et la proximité de ses mains qui m’effleuraient sans me toucher. Puis je me tournai vers lui, le dévorant du regard, tout en déboutonnant mon chemisier. Des gouttes de sueur perlaient déjà sur mes seins, sur mes tétons durs et dressés. Toujours en mouvement, je fis tomber mon chemisier humide. Je pouvais lire le désir dans ses yeux. Et puis tout s’est accéléré. Je retirai mon soutien-gorge, puis ma jupe que je fis glisser le long de mes jambes. Je gardai cependant les porte-jarretelles. Il était encore vêtu de son costard mais je pouvais voir son excitation au travers de son pantalon.

Histoire érotique : « Je ne pus retenir mes cris de plaisir »

Je m’agenouillai devant lui, ouvris sa braguette et libérai ainsi son sexe en érection que je massai avec les deux mains, avant de le lécher de bas en haut. Il mit sa main derrière ma tête et m’enfonça son sexe tout dur dans la gorge. Pendant ce temps, ma fleur suintait. Il fallait qu’il me pénètre. Je me levai, me tournai et m’assis sur son sexe. J’étais dos à lui. J’ondulai mon corps comme une sirène. Lui me tirait légèrement ma crinière ébène, ce qui me fit me courber encore plus. Je sentais son souffle chaud dans mon cou.

Sa respiration accélérait de plus en plus. D’un coup, il me souleva et me fit me mettre à quatre pattes. J’aime la levrette. Il me pénétra si profondément et avec une telle ardeur que je ne pus retenir mes cris de plaisir. Je me lâchai totalement, sans aucune retenue. Une vibration traversa mes reins et mon échine. Mon vagin se contracta puissamment et emprisonna son sexe gonflé par l’envie. Mon corps tout entier suait, tremblait. Et puis l’extase, la décontraction, le relâchement total. J’avais joui. Mais lui pas encore. Alors je pris les choses en main — ou plutôt en bouche. Je le branlai dans ma gorge avec vigueur en massant ses testicules glabres. Je sentis des vibrations dans son sexe. Il allait jouir. J’ouvris la bouche pour recueillir son orgasme. Le jet fut si puissant qu’il me recouvrit tout le visage, et même les cheveux. C’était fini. La mélancolie m’absorba. Je savais qu’il ne resterait pas pour la nuit. Je savais qu’il allait rejoindre sa femme. Il prit tout le même le temps de se doucher avec moi.

Encore une fois, J’étais comblée mais me sentais seule, abandonnée, et ne pouvais m’empêcher de souhaiter déjà sa prochaine visite… 

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