On reprend l'interview de femme libertine là où on s'était
arrêté la semaine dernière. Vous n'allez pas être déçus !
Parlez-nous de votre
première expérience de hotwife libertine. Comment cela s'est-il passé ?
Rachel : J'ai rencontré un mec dans un pub, puis je l'ai
ramené à la maison et l'ai baisé sur le canapé pendant que mon mari nous
faisait une tasse de thé. Puis il nous a regardés faire l'amour sans broncher. Pas
d'inquiétude, tout était prévu à l'avance.
Combien d'amants
avez-vous eu depuis que vous êtes devenue hotwife ?
Rachel : J'ai perdu le compte. Certainement aux alentours de
la quarantaine.
Préférez-vous
rencontrer un mec une seule fois ou avoir quelqu'un de régulier avec qui
construire une relation sexuelle ?
Rachel : Je rencontre très rarement le même gars plus de
deux fois. Pour moi, le frisson d'être une femme libre réside dans le fait de
baiser des mecs différents. Je ne veux pas non plus qu'une sorte de dépendance
s'installe, ni encore moins un attachement émotionnel. Cela doit rester
basique : du sexe pour du sexe. Rien de plus.
Avez-vous déjà
participé à un gangbang ?
Rachel : Qu'en pensez-vous ? Bien entendu que j'ai pris part à des gangbangs au cours de ma vie de hotwife. J'adore ça !
Avec combien d'hommes
avez-vous eu des relations sexuelles en même temps ?
Rachel : Sept à la fois ou plutôt à la chaîne.
La taille du sexe
est-elle importante pour vous ?
Rachel : Non pas vraiment. J'ai déjà baisé avec un mec avec
une bite énorme et ce n'était vraiment pas fameux.
Aimez-vous flirter
avec les hommes que vous rencontrez au quotidien, attirer leur attention dans
la rue, discuter avec un gars au supermarché, etc. ?
Rachel : J'adore ça ! Je préfère d'ailleurs ce genre de
rencontres à celles que je fais en club. En club il y a déjà une sorte d'accord
tacite entre les participants, du moins chacun sait pourquoi l'autre est là.
Dans un lieu du quotidien, tu ne sais jamais à quoi t'attendre.
Quel est votre acte
sexuel préféré ?
Rachel : Difficile de répondre. Mais si je devais choisir,
je dirais que j'adore sucer une bite molle, la sentir pousser dans ma bouche
jusqu'à ce qu'elle soit dure comme du roc, puis la sentir éclater et remplir ma
bouche de sperme chaud.
Avez-vous un fétiche ?
Rachel : J'ai un fétiche, et je ne peux pas croire que je
m'apprête à le raconter ici ! J'adore renifler les culottes sales des femmes.
Quelle est la chose
la plus « perverse » que vous ayez essayée ?
Rachel : C'était dans un bar réputé pour être plutôt
olé-olé. Je suis allée dans les toilettes des hommes, je me suis agenouillée à
quatre pattes dans une cabine et j'ai juste attendu que des gars entrent et me
baisent.
Trouvez-vous la
plupart de vos partenaires sexuels sur Internet, dans votre vie quotidienne ou
par l'intermédiaire d'amis ?
Rachel : Beaucoup via Internet. Mais comme je l'ai déjà dit
plutôt, je rencontre aussi des inconnus au hasard et en utilisant des glory holes
dans les toilettes publiques pour hommes.
Comment est-ce que
les autres femmes vous traitent quand elles connaissent votre style de vie ?
Ressentez-vous de l'envie, de la jalousie, un souhait inavoué de pouvoir vivre
votre style de vie ? Ou bien des sentiments négatifs envers vous ?
Rachel : C'est un peu un mélange de tout ça. Pour certaines
je représente une menace sexuelle quand je traîne sur leurs plates-bandes.
Certaines jalousent ma confiance sexuelle et d'autres m'admirent pour mon style
de vie. Après je dois quand même dire que je ne le crie pas non plus sur tous
les toits. Ce sont plutôt des situations particulières qui me font dire ce que
j'ai dit.
Quand vous avez un
rendez-vous avec un amant, votre mari participe-t-il sexuellement avec vous,
vous regarde-t-il jouer ou vous laisse-t-il seul avec votre partenaire sexuel ?
Rachel : Un peu des trois. Encore une fois cela dépend de la
situation, du type d'amant que je rencontre et de nos envies à tous les deux.
Je ne l'ai peut-être pas dit assez explicitement, mais mon mari a lui aussi son
mot à dire. Quand il est en mode cocu, il est obligé de regarder ou de
s'asseoir dans une autre pièce et d'écouter. D'autres fois, il est présent dans
la pièce avec moi et se joint à moi.
Suite de l'interview la semaine prochaine.
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