Quand je suis rentré à la maison, ma femme Sabrina n'a rien
dit au sujet des cartons dans le garage. Elle était un peu froide avec moi,
mais le reste de la soirée fut plutôt calme. Comme Katie ne m'avait encore rien
dit de différent, je me suis occupé de mes affaires et j'ai continué à ignorer
les cartons. Vers 22h30, j'ai commencé à me préparer pour aller au lit. Je suis
allé dans la salle de bain, je me suis brossé les dents et je suis retourné
dans la chambre pour trouver ma femme déjà couchée devant moi. Elle portait une
tenue très explicite que je n'avais jamais vue auparavant.
« Katie m'a proposé de lui emprunter. Tu aimes ça
? »
En toute honnêteté, j'adorais cette tenue en cuir qu'elle
portait pour la première fois.
J'ai retiré mon boxer et j'ai grimpé sur le lit. Elle a
saisi mes testicules avec une de ses mains, et de se pencher pour m'embrasser.
Sa bouche se baladait entre mes lèvres, mon cou et mes oreilles. Elle sait que
j'adore quand elle me mordille l'oreille.
Elle a déplacé sa main vers mon sexe qui était désormais dur comme le
fer. Elle le caressa, doucement au début, puis à un rythme régulier. J'ai
laissé tomber ma tête en arrière sur l'oreiller et fermé les yeux.
« Tu aimes ça quand je te touche ? »
« Oui, beaucoup. » Ce dialogue érotique était un
peu inhabituel pour elle. Je fermai toujours les yeux. Elle a remplacé sa main
par sa bouche chaude.
Elle a léché de haut en bas et puis sucé mon gland. Elle m'a
demandé de la prévenir de l'arrêter quand j'étais sur le point de jouir. C'est
ce que j'ai fait après seulement quelques minutes de la pipe la plus incroyable
qu'elle ne m'ait jamais faite.
« A ton tour maintenant. » Ma bite était encore
dure, mais je n'avais pas d'autre alternative que de suivre son exemple.
Elle se positionna sur le dos, appuyée légèrement à la verticale par des oreillers et écarta les jambes. Elle guida ma tête entre ses cuisses et la maintint fermement en place. J'ai vraiment adoré descendre le long du corps de ma femme avec ma langue. Elle aussi semblait apprécier mon coup de langue.
Je lui ai accordé l'attention aimante que mon rôle de mari
exigeait de moi. Elle m'a mené à la baguette avec une voix douce et autoritaire
que je n'avais jamais entendue auparavant. J'avais dû la lécher pendant une
bonne vingtaine de minutes, l'amenant à plusieurs orgasmes, quand elle a
finalement écarté ma tête en me tirant par les cheveux.
« Il y a quelque chose dans le tiroir de la table de
chevet que je veux que tu prennes » dit-elle.
Je me suis précipité sur le côté du lit, ma bite dure rebondissant
toujours entre mes jambes, et j'ai ouvert le tiroir. À l'intérieur, il y avait
un vibromasseur. Il était rose, mesurait environ une dizaine de centimètres de
long avec une légère courbure à la pointe. De ce que je savais, elle n'avait
jamais joué avec des jouets auparavant, c'était donc un choc pour moi.
« Il y a aussi une petite bouteille, prends-la
aussi. » C'était du lubrifiant. J'en ai mis sur le vibromasseur. « Maintenant,
insère ?le lentement en moi. Commence par le bas. Je te dirai d'augmenter la
vitesse quand j'en ai envie. »
J'ai allumé le vibromasseur et j'ai commencé à le frotter
d'abord sur le périmètre de sa chatte, puis sur son clitoris avant de le travailler
à l'intérieur d'elle. Elle ronronna de plaisir en cambramt son cou et son dos
de manière provocante. Je me suis déplacé pour mettre ma bouche sur ses seins.
Elle tenait ma tête dans sa main pour me maintenir en place. Elle gémissait et couinait.
Je ne l'avais jamais vue trembler autant auparavant.
Je me suis écarté de sa poitrine pour me positionner sur mes
genoux entre ses jambes. J'ai tenu ma bite dure dans ma main et l'ai
positionnée devant sa chatte. J'ai agrippé l'extrémité du vibromasseur pour le
retirer d'elle. Elle posa sa main sur la mienne et m'arrêta.
« Non, dit-elle, va me chercher un gant de toilette chaud. »
J'ai sauté du lit et j'ai couru vers la salle de bain.
J'attendais avec impatience que l'eau du robinet se réchauffe. Je pouvais
l'entendre gémir et couiner dans la chambre. Finalement, l'eau est devenue
chaude. J'ai trempé le gant de toilette puis l'ai fait sonner rapidement dans
l'évier. J'ai couru vers le lit, ma bite toujours en rage.
La suite la semaine prochaine.
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