Le blog de de la rencontre échangiste

« Une fellation est quelque chose qu'une femme fait pour un homme. L'adoration du pénis est quelque chose qu'elle fait pour elle-même. » - Auteur inconnu

Cette citation est toujours restée avec moi. En effet, c'était l'inspiration derrière mes recherches sur les rituels d'adoration des phallus de nos ancêtres, son lien avec Dionysos — l'énergie archétypale ambitieuse qui coule comme de la sève à travers mes réflexions.

Les rituels d'adoration des phallus ont largement disparu de la conscience et, même si des vestiges subsistent, ce n'est certainement pas quelque chose de courant. Il est intéressant de noter que cette connexion phallique spirituelle apparemment intemporelle a existé chez les femmes pendant des dizaines de milliers d'années et a en quelque sorte disparu. Curieusement, je pense que les hommes ont en fait réprimé ces rituels afin de contrôler ces désirs sauvages et la sexualité des femmes. Les femmes d'aujourd'hui nourrissent-elles encore ce désir spirituel au plus profond de leur inconscient ? Même si elles ressentent cet appel primordial, le reconnaissent-elles d'une manière spirituelle et y tendent-elles ? Je n’ai cependant que l’expérience personnelle que j’en ai faite. Notamment avec Sibylline, une femme dont je n’oublierai jamais la sensualité et la profondeur d’esprit. Les souvenirs que j’ai de Sibylline sont aussi nombreux que vivaces. Mais il y en a un en particulier qui restera à jamais gravé en moi.

Dompter le phallus par la fellation : « Prête à apprivoiser cette force bestiale »

Elle se blottit contre moi. La sensation de sa peau nue contre la mienne me fait trembler de désir. Ce genre de sensations ne s’oublie pas. Sibylline glisse sur mon côté gauche et s'enroule autour de ma cuisse avec sa tête appuyée contre mon torse. C'est comme si elle était attachée à moi. J'ai vécu cela plusieurs fois avec elle. C'est comme si elle me bloquait pour que je ne puisse plus m’échapper.

Sibylline enroule fermement sa main droite autour de la base de mon sexe. Ma verge n'est pas un morceau de chair délicat. C'est une force d'énergie primaire extrêmement dure. Sibylline se comporte comme si elle était prête à apprivoiser cette force bestiale. Sa prise est serrée comme un cockring qui me serre. Mes veines se mettent à gonfler, mon gland aussi.

Elle enroule ses lèvres charnues couleur cerise autour de mon gland et le suce en guise d’apéritif avant de se régaler avec le reste du repas. Sibylline glisse sur ma verge de haut en bas, de fil en aiguille elle en prend toujours un peu plus en bouche. Je sens mon gland pousser contre le fond de sa gorge alors qu'elle émet de petits renvois doux et que son corps se contracte à chaque poussée. Elle s'accroche et s'y tient résolument.

Mes yeux deviennent déjà troubles avec la chaleur et la sueur qui m’envahissent le visage. Il m’est difficile de penser ou de bouger. Je joue avec ses cheveux pour garder ma ligne de vue ouverte : je veux la regarder me dévorer. Elle retire mon sexe et le tient droit devant elle. Elle le regarde avec une telle intensité sauvage – comme si rien d'autre n'existait dans le monde. Ce moment de révérence s’enfuit et elle le frappe avec force contre ses lèvres gracieuses. Elle suce et passe sa langue sur ma longueur.

La fellation, ce festin : « Ce n'est pas pour moi. Elle en a envie »

Sibylline fiche sa main gauche sous mes grosses boules et les soulève contre la base de ma verge. Elle me prend une nouvelle fois profondément en bouche, essayant désespérément de toucher de ses lèvres et de sa langue la base de ma verge. Je suis vraiment fasciné par ce qui se passe. C'est comme si elle était entraînée par une force divine tourbillonnant en elle. Ce n'est pas pour moi. Elle en a envie. Sibylline a besoin de consommer entièrement ce que j’ai de plus cher. Elle se bâillonne presque en me pressant plus profondément dans sa bouche. Cela continue un peu puis elle s'arrête.

Ses lèvres sont contre mon corps. Je n'ai jamais ressenti cela auparavant. Sa langue traine partout sur mon corps et je la sens qui exhale ma peau comme on exhale un parfum Je sens un mouvement de succion semblable à une sucette alors que je regarde ses joues entrer et sortir. Cela se transforme en ce qui ressemble à un mouvement de morsure : ses dents s’agrippent contre ma barre d’acier et c'est incroyable !  J’entre dans un autre monde et je suis prêt pour cette promenade sur de nouveaux sentiers.