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Le blog de de la rencontre échangiste

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Les vacances d'Eva au camping libertin

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Salut les coquins et les coquines ! Me voilà de retour de vacances ! Pour la première fois de ma vie, j’ai passé mes congés dans un camping libertin. Et je peux déjà vous dire que ce ne fut pas de tout repos. Culs à l’air, activités coquines parfois un peu « beauf », rencontres charmantes parfois énervantes, mon séjour libertin a été une expérience très enrichissante dont je garde un très bon souvenir. Un souvenir que je veux partager avec vous.

Au camping libertin : « Le sexe et les rencontres libertines sont les principales motivations »

Quoi qu’on puisse en penser, le campeur libertin n’est pas tant si différent du villégiateur ordinaire. Au vrai, avant d’être libertin, il est en villégiature. Mais, car il y a un « mais », on ne vient certainement pas au camping libertin simplement pour monter sa tente, jouer des parties de pétanque avec les voisins, trinquer au pastis, faire du vélo, se prélasser sur la plage ou se dandiner sur des morceaux démodés dans la boîte de nuit du coin. Je ne suis pas en train de dire que ces activités ne font pas partie du folklore du camping libertin, mais plutôt qu’on y vient pour trouver autre chose. On ne va pas se mentir, le sexe et les rencontres libertines sont les principales motivations du vacancier libertin. Nul besoin de le cacher : c’est ce que je suis venue chercher et ce que j’y ai trouvé.

Caping Libertin avec Eva

Quand je suis arrivée sur place, j’ai découvert un lieu ordinaire, un camping classique où se dressent les tentes et les mobile-home. Avec les allées bordées de buissons fleuris, le ciel azur et les oiseaux chantonnant, l’ambiance était tout ce qu’il y a de plus estival, à l’exception près qu’il n’y avait pas de marmots pour gâcher ce beau spectacle d’été. Au camping libertin, on est entre adultes consentants, et cela vaut mieux comme ça. Bref, j’étais donc en train de déballer mes affaires et je faisais déjà à une montagne de difficultés, à savoir ériger ma tente. Mais quand on est une jolie fille comme moi, il ne se passe pas bien longtemps avant qu’une foule d’hommes déboulent pour prêter main forte.

Vacances au camping libertin : « Envie de jouer, de séduire, de me faire désirer »

Lunettes de soleil sur le nez, cheveux dans le vent, Éric et Ghislain furent mes deux preux monteurs. Ils levèrent ma tente en deux temps trois mouvements et nous purent converser plus intimement au bord de la piscine. Le premier était grand, avec une belle figure longiligne, cheveux grisés par la trentaine, bref : plutôt séduisant. Le second était un peu moins à mon goût, donc je ne vois pas trop l’intérêt d’en faire la description. Les deux comparses venaient de Toulouse et possédaient leur propre agence de photo. Quelques minutes plus tard ils m’avaient déjà proposé de poser pour eux. Même si leur proposition me flattait, je dus refuser. Il ne fallait qu’ils croient c’était dans la poche. D’autant que je ne voulais pas me faire les premiers venus, surtout pas ceux qui avaient monté ma tente. J’avais envie de jouer, de séduire, de me faire désirer.

Alors que nous étions en pleine discussion, une clameur a retenti au loin et nous a tirés de notre conversation. Nous sommes allés voir ce qui pouvait susciter un tel engouement et nous sommes tombés sur un groupe d’une dizaine personnes en train de faire un twister géant. Bien entendu, ils étaient nus et leur figure picassienne tanguait comme un navire dans les vagues. Les rires se faisaient de plus en plus bruyants et joyeux et ce qui devait arriver arriva : la pyramide humaine s’écroula dans un rire commun. Le jeu était terminé et les premiers bisous volèrent dans l’air d’été. Volages et de bonne humeur, les membres du groupe se disloquèrent et se recomposèrent en petits groupements. J’avais aperçu un garçon, la trentaine, peut-être plus jeune, dont le regard avait répondu au mien par un sourire. Il est venu vers moi, m’a pris la main et m’a conduit à l’écart.

Vacances au camping libertin : « D’une caresse linguale il me fit presque jouir »

Nous sommes allés un peu plus loin et, sans mot dire, il m’a embrassé. Il avait envie, moi aussi. Il m’a allongée sur l’herbe et a fait tomber mon maillot de bain. Il devait avoir lu notre article sur l’art du cunnilingus car il fut d’une douceur sans pareille. D’une caresse linguale il me fit presque jouir. Alors, pour profiter plus longuement de l’orgasme à venir, je lui ai rendu la pareille, avant de lui enfiler un préservatif pour poursuivre notre chemin, main dans la main, vers la jouissance. Une fois notre affaire conclue, nous nous sommes séparés dans un long baiser. Je ne connaissais ni son nom ni le timbre de sa voix, toutefois j’étais convaincue que nos routes allaient se croiser de nouveau. Et mon intuition fut juste. Mais comme je ne voulais pas me lier à un homme trop rapidement, j’ai poursuivi ma quête de plaisirs et je suis allée à la rencontre d’autres beaux garçons.

A suivre dans le prochain épisode.  

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