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Ma première fois au Glory Hole, la suite?

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La suite de ....

Lorsque nous sommes arrivés dans cette arrière-salle obscure du club, il y avait déjà deux filles en train de s’amuser avec des sexes en érection qui dépassaient des nombreux trous creusés dans la cloison. Je n’ai pu m’empêcher de rire. La situation me semblait complètement irréaliste mais malgré tout très excitante. J’ai alors dit au jeune homme qui m’accompagnait d’aller de l’autre côté de la cloison mais de ne pas me dire derrière quel trou il se trouverait. En effet, je m’étais lancée le défi de le reconnaître à son pénis et cela même si je ne l’avais vu que sous sa forme flasque et pendante.

Les deux filles avaient à peine achevé leur travail d’orfèvre que d’autres pénis en érection remplaçaient les précédents. Rassasiées, elles se retirèrent et je me trouvai, seule et livrée à une puissante envie, devant une rangée de cinq sexes masculins qui se dressaient dans les excavations. Je me suis amusée à les frôler l’un après l’autre du bout de la langue. D’emblée je pouvais en exclure deux qui ne sentaient pas la rose. Ils attendraient que des filles un peu moins regardantes les soulagent. Il ne me restait donc plus que trois possibilités. Mon amant inconnu en faisait-il partie ?

Glory Hole : « Une fellation à un pénis sans visage »

J’ai pris en main un des trois sexes qui me faisaient la cour et je l’ai malaxé avec délicatesse. A peine avais-je commencé que je recevais une giclée en pleine figure. J’avais affaire à un éjaculateur précoce. Bien que je ne connaissais pas le jeune homme, il ne m’avait pas donné à penser qu’il faisait partie des hommes qui éjaculent avant même d’avoir joui et d’avoir fait jouir. Je me suis donc reportée sur le trou d’à-côté. Le pénis qui s’y trouvait me semblait trop petit pour être celui de mon galant du soir. Peu importe, je me suis quand même laissée aller à ce désir nouveau. Et je l’ai réalisé en prenant à pleine bouche cette petite verge. Encore une fois, j’avais affaire à un rapide et je n’eus même pas le temps de me retirer qu’un torrent m’a coulé dans la gorge que j’ai très vite recraché.

M’étais-je trompée sur ce jeune homme qui m’avait fait forte impression, de par son calme et son assurance ? Il ne me restait plus qu’une seule option pour le savoir. Le dernier trou était sûrement le bon. Donc je me suis agenouillée et je me suis saisie de ce beau et long pénis qui ne pouvait être que celui de mon compagnon de discussion. Cette fois, j’ai directement remarqué que l’homme qui se trouvait derrière ce phallus prenait du plaisir, qu’il savourait chaque coup de langue, chaque gorge profonde. Et moi je prenais un plaisir insensé à faire une fellation à un pénis sans visage.

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Glory Hole : « Sa vigueur me mettait dans tous mes états »

Je voulais voir ce qu’il avait dans le ventre, alors j’ai accéléré la cadence. Mais il y avait du répondant en face et cela m’excitait d’autant plus. Qui pouvait être ce bel étalon si bien monté qui me résistait ? J’ai alors décidé de voir ce qu’il valait. Je me suis arrêtée de le masturber et de le sucer et je lui ai enfilé un préservatif. Il a très vite compris que je passais aux choses sérieuses et il s’est laissé faire. Remarque, c’est un peu le but du Glory Hole, de se laisser faire.

J’étais tellement excitée qu’il est entré comme dans du beurre. Sa vigueur me mettait dans tous mes états. J’étais en train de vivre une aventure unique qui me faisait tressaillir. Ironie du sort, c’était maintenant à moi de jouir avant mon partenaire de Glory Hole. Cela ne pouvait pas durer ainsi ! Je lui ai ôté le préservatif et je l’ai masturbé jusqu’à ce qu’il jouisse. Et enfin il a joui ! J’étais satisfaite de moi. Comme je voulais savoir qui se trouvait derrière la cloison, j’ai passé la main dans le trou et je lui ai fait signe de se baisser pour discuter. Et à ma grande surprise, je reconnus l’homme qui m’avait donné à la fois tant de mal et tant de plaisir. C’était mon homme, oui, c’était mon compagnon de l’époque. Et dire que je n’avais pas réussi à reconnaître l’engin de mon propre copain…

Glory Hole : « Les apparences sont souvent trompeuses… »

En plus d’être nouvelle, cette expérience m’a fait prendre conscience qu’on peut parfois ne pas reconnaître l’homme avec qui on partage son quotidien. Nous étions tellement volages, nous faisions si peu l’amour ensemble, que je n’avais pas reconnu mon propre compagnon. Et lui n’avait pas reconnu mon coup de main, ni mon coup de langue. Figurez-vous alors que cette expérience insolite a mis un terme à notre relation. Mais je vous rassure, nous n’étions pas fait l’un pour l’autre, si tant est qu’on puisse être fait pour quelqu’un. Ah oui, j’oubliais le jeune homme. Eh bien, il s’avère que je m’étais trompée sur son compte. Il ne s’était pas rendu derrière la cloison. En effet, il n’avait fait qu’assouvir son désir de voyeur. Comme quoi, les apparences sont souvent trompeuses…

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