Je lisais attentivement les nouvelles annonces quand mon
attention a été retenue par l'une d'entre elles qui avait été postée par un
couple de trentenaire. Ils recherchaient un homme célibataire ou une femme
bisexuelle, surtout pas de couple. Elle voulait être dominée devant son mari.
Je n'avais aucune notion de la domination, mais j'étais
intrigué, alors je me suis renseigné. Je me suis demandé comment faire pour
dominer une femme. J'avais toujours traité toutes mes partenaires comme mes
égales. J'ai lu certains articles sur le sujet qui étaient orientés sur la
notion de « dom ». J'ai lu tout ce que j'ai pu sur la question et
j'en ai conclu que je pouvais le faire. Alors je suis retourné sur leur annonce
et j'ai commencé à rédiger une réponse.
Il était évident pour moi que le ton de ma réponse influerait
sur leur décision de me choisir ou non. Je vous épargne les détails, mais je
satisfaisais les exigences qu'ils avaient énoncées dans leur annonce. Sur ce le
couple m'a demandé une photo. J'ai décidé d'en prendre une sans ma chemise,
mais avec un pantalon. A la fin de mon message j'ai indiqué qu'elle pouvait
m'appeler avant 21 heures le soir même. Le téléphone a sonné. C'est lui qui
était au bout du fil. Il s'est présenté. Visiblement elle écoutait la
conversation derrière le combiné.
D'une voix sévère, je lui ai dit que j'avais exigé qu'elle m'appelle et non son mari. Elle a bégayé des excuses. Je l'ai interrompue et lui ai dit qu'elle avait juste besoin de répondre : « Désolé maître. » J'étais définitivement entré dans la domination, dans mon rôle de maître. Ensuite je lui ai demandé de me dire ce qu'elle mot de code elle voulait utiliser pour arrêter une séance qui serait trop hard pour elle. « Pitié ». Je lui ai rappelé qu'elle devait terminer n'importe quelle phrase par « maître ». Elle a répété le mot et ajouté « maître ».
Je lui ai dit de noter mon adresse et que j'attendais d'elle
qu'elle soit ponctuelle. J'ai exigé qu'elle porte un chemisier moulant, une
jupe courte, pas de culotte ni de soutien-gorge et de belles chaussures.
Cela a sonné à ma porte à l'heure indiquée. Elle était
accompagnée de son mari. « Est-ce que je t'ai dit de l'amener ?» Dis-je
sèchement. « Non maître » répondit-elle. J'ai fait preuve de bonne
volonté et les ai conviés à entrer tous les deux dans ma demeure. Une fois dans le salon, je lui ai ordonnée de
me montrer qu'elle avait suivi mes instructions.
Elle l'avait fait, ses tétons pointaient au travers de son
chemisier serré. Elle tourna et se pencha pour montrer son cul nu, un joli
petit cul que j'allais bientôt fesser. J'ai demandé à son mari de s'asseoir sur
une chaise pendant que je m'asseyais avec elle sur le canapé. Je lui ai dit que
nous pouvions parler librement. Nous avons parlé ouvertement de ce qu'elle
aimait et n'aimait pas. La seule chose qu'elle n'avait jamais essayée était les
relations sexuelles anales. Je lui ai dit que si nous arrivions à l'anal, elle
aurait le contrôle avec son mot de code.
Puis je lui ai dit qu'elle jouait un rôle. Elle a répondu
« oui maître ». Je lui ai dit de me déboutonner et de sortir ma bite.
Son homme a gémi nerveusement. Il était évident que ce n'était pas son truc de
voir sa femme servir un autre homme. Je lui ai dit que s'il n'aimait pas il
pouvait partir. Puis j'ai exigé d'elle qu'elle me suce la bite sur le champ.
Elle était plutôt bonne, pas la meilleure que j'aie jamais eue, mais loin
d'être la pire. Puis je lui ai dit de se lever et de se déshabiller pour moi.
Il a gémi à nouveau alors qu'elle se déshabillait. Elle
avait un corps magnifique et j'avais hâte d'en profiter. Quant à lui, il était
devenu une distraction inutile et j'ai donc décidé de m'occuper de lui. Alors
qu'elle se tenait là complètement nue, je me suis adressé à lui pour lui dire
que sa présence n'était plus nécessaire et qu'il pourrait la récupérer à dix
heures du matin le lendemain.
« Mais ... » Je l'ai interrompu et l'ai conduit à
la porte d'entrée. A mon retour, elle avait un sourire sur son visage. Je lui
ai ordonné de ne plus sourire que quand je lui en donnerais l'ordre ou
l'autorisation. Elle a baissé la tête et a dit « oui maître ». A
l'intérieur de moi j'étais ravi qu'elle soit heureuse d'avoir éjecté son mari.
« Maintenant, suce ma bite », lui ai-je ordonné. Il ne
fallut pas longtemps avant qu'elle s'exécute. Après quoi je lui ai sucé les
tétons. J'ai délibérément laissé une petite trace de morsure d'amour pour
montrer à son mari qu'elle était à moi. Nous avons baie pendant des heures et j'ai
même doigté son cul. J'attendais à moitié le mot de code qui n'est jamais venu.
Le lendemain matin, je lui ai encore doigté le cul pour la
préparer à ma bite qu'elle a accueillie sans mot dire. Son homme est arrivé à
10 h pétantes. Il avait l'air choqué qu'elle soit toujours nue quand elle l'a
laissé entrer. Je lui ai dit qu'elle reviendrait vendredi prochain et qu'il
n'était pas nécessaire qu'il vienne avec elle. C'est ainsi que s'est achevée
mon entrée dans la domination.
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