Le blog de de la rencontre échangiste

Rosi était prise en sandwich entre deux étalons masqués. Il me semble d’ailleurs que j’ai oublié de dire que tous les hommes étaient masqués. Ils la bougeaient sans relâche ni retenue et elle criait son plaisir également sans se retenir. Puis un des mecs a mis son sexe dans la bouche de Rosi qui gémissait maintenant en silence, comme bâillonnée par cette grosse queue qui lui bouchait la bouche entièrement. De la bave coulait abondamment de la commissure de ses lèvres recouvertes de rouge à lèvres. Je l’entendais régurgiter depuis ma place.

Ce sandwich a duré une bonne dizaine de minutes, jusqu'à ce que les deux messieurs lui remplissent tous les trous de leur semence de virilité. Bien entendu, ils portaient des capotes. C’était la condition pour baiser ma femme. Ils se sont donc retirés et sont partis s’assoir sur les canapés en face. Pour ma part, j’étais assis aux premières loges sur un fauteuil. Même si j’avais furieusement envie de jouir, je me suis retenu dans l’optique de finir la soirée avec Rosi, cela même s’il n’était pas sûr qu’elle ait encore envie après avoir couché avec autant de mâles.

La prochaine équipe de deux était prête à pénétrer Rosi par tous les trous, mais, lorsqu’un des deux a mis son sexe dans son cul, Rosi leur a demandé de lui enfoncer plutôt les deux bites à la fois dans sa chatte. C’était, de ce que je sache, sa première double pénétration vaginale. Sa demande a été satisfaite. Ils l’ont mise à quatre pattes. Un des deux s’est glissé sous elle, tandis que le second s’est mis derrière elle. Les premières secondes ont semblé très douloureuses. C’est du moins ce que ses cris ont laissé entendre.

Soirée orgie libertine : « Elle était entrée en transe »

Sa chatte était dilatée au maximum et les premiers mouvements des deux hommes n’étaient pas du tout coordonnés. Mais ses deux partenaires de jeu ont fini par s’accorder et lui ont montré qu’il était possible de prendre du plaisir dans la double pénétration vaginale. Rosi tremblait de tout son corps, ses yeux étaient presque révulsés, elle était entrée en transe. Je ne savais pas trop quoi en penser : d’un côté elle s’extasiait dans des cris qui ressemblaient à des cris de plaisir, mais de l’autre elle ne semblait plus trop contrôler ses mouvements.

Les hommes se sont succédé pendant un gros quart d’heure. Rosi ne semblait plus vraiment savoir où elle était et il m’a paru préférable d’arrêter l’orgie. Un peu inquiet, j’ai prévenu la patronne qui a fait signe aux hommes de se retirer. Ce qu’ils ont fait sur le champ. C’est le moment où ma Rosi s’est littéralement effondrée, elle n’en pouvait plus, elle était épuisée, amorphe.

Le groupe d'hommes s'est alors séparé et est allé au bar. Je me suis allongé au côté de Rosi pendant quelques minutes. Je l’ai caressée et dit quelques mots d’amour. Nous sommes allés ensuite sous la douche. Elle frémissait encore légèrement et son regard semblait être ailleurs. Ma Rosi, les jambes tremblantes, visiblement épuisée et très pâle, m'a dit : « c’était l'idée la plus folle que tu as pu avoir, maintenant je veux juste rentrer à la maison. »

Soirée marathon de sexe : « Son corps avait été mis à rude épreuve »

Nous avons dit au revoir à la patronne du club, avons grimpé dans notre voiture et sommes rentrés à la maison. Pendant le trajet, ma douce s'est de nouveau blottie contre moi et m'a demandé comment j’avais vécu la soirée. Je lui ai dit que j’avais été excité tout du long et que j’étais content d’avoir vécu une expérience de la sorte, mais que j’avais tout de même eu un peu peur à la fin. Même si elle avait été baisée par d’autres, j’avais ressenti une sorte de connexion avec elle. Elle, en revanche, a avoué qu’elle n’avait fait que vivre le moment. Il était pour elle impossible de penser à quoi que ce soit tellement son corps avait été mis à rude épreuve pendant cette grosse demi-heure de baise intense.

Elle m’a alors demandé si je savais combien d’hommes lui étaient passés dessus ce soir. Je lui ai dit 27 mais que 40 étaient initialement prévus au menu. Elle a ensuite dit qu’elle aurait aimé faire le grand chelem mais qu’elle n’en pouvait plus. Pour une première orgie de cet acabit, ce n’était tout de même pas mal du tout, lui ai-je dit.

À la maison, elle a enlevé ses vêtements et m'a dit qu’elle voulait se faire un 28^ème mâle dans la journée. J’ai bien entendu répondu favorablement à sa demande, cela même si son trou était complètement épuisé et dilaté…