Au début, j'ai été surprise lorsque mon petit ami de
l'époque a essayé de me convaincre de passer une soirée dans un club
échangiste. J'avais certes déjà participé à de nombreuses partouzes auparavant,
mais jamais alors que j'étais en couple avec quelqu'un. Malgré mon scepticisme
il n'a pas abandonné et au bout de deux semaines, il m'a convaincue, sans
savoir qu'il finirait par le regretter.
Nous sommes donc allés au club le samedi soir. Je ne portais
rien d'autre qu'un body ultra moulant et lacé. Et pour être honnête, j'étais
totalement flattée parce que tous les hommes du bar me regardaient avec envie.
Pierre était très excité, il voulait déjà se rendre à l'étage dans les alcôves.
J'avais plutôt envie de rester au bar.
Après trois tentatives infructueuses pour me persuader,
Pierre était tellement désabusé qu'il a décidé de se rendre à l'étage tout
seul. J'avoue que ce n'était pas pour me déplaire, car il m'énervait.
Maintenant que j'étais là, je voulais profiter de la soirée à mon rythme.
Alors que je buvais ma coupe de champagne, j'ai levé les
yeux : j'étais soudainement entourée de quatre hommes. Sans aucun
préambule, les gars m'ont tout de suite demandé si je voulais aller dans une
alcôve avec eux.
Je ne sais plus si c'était une soif de vengeance qui m'animait
à cause de Pierre ou l'ambiance érotique qui régnait, en tout cas, je me suis
laissé embarquer dans cette aventure. J'étais saisi par une étrange excitation
contre laquelle je ne pouvais tout simplement pas lutter. Sans penser un
instant à Pierre, j'ai laissé les quatre hommes m'entraîner dans une pièce
recouverte de matelas. Un couple nu s'y trouvait déjà qui s'amusait en position
69.
Les quatre hommes m'ont demandé s'il y avait quelque chose
que je ne voulais absolument pas faire. Je leur ai répondu que je le leur dirai
si je ne me sentais pas à l'aise avec quelque chose. Quatre paire de mains se
sont mises à tripoter mes seins, mon ventre et entre les cuisses.
C'était merveilleux : ils ont exploré tout mon corps avec quatre bouches et huit mains. Je les sentais partout sur mes seins, mes fesses, ma chatte, mes cuisses et les sensations qu'ils me donnaient enflammaient littéralement mon corps. J'étais excitée comme rarement auparavant et je voulais sentir leurs bites en même temps.
Les garçons m'ont fait une faveur, et quelle faveur !
Alors que l'un d'eux me baisait à coups durs dans la chatte, l'autre était couché
sous moi et enfonçait sa bite dans mon cul. Le troisième s'est agenouillé sur
moi et a utilisé mes gros seins fermes en guise de branlette espagnole. Et le
dernier a dirigé sa bite dans ma bouche. C'était tout simplement génial.
J'avais vécu toutes ces pratiques sexuelles plusieurs fois,
mais jamais avec quatre mecs en même temps. Cela a presque chassé de mon esprit
que j'étais en couple. J'ai crié ma luxure si effrénée que mes gémissements ont
résonné dans tout le club.
Je voulais des bites et les gars ont tout donné, ils m'ont
conduit d'un orgasme à l'autre. De plus en plus de femmes et d'hommes sont
entrés dans la pièce pour regarder notre baise sauvage.
J'étais revenue à un état d'excitation que je n'avais connu
que dans mes périodes de célibat, lorsque je baisais à tout va. Je voulais
qu'ils me jouissent dessus, sur les seins, sur le visage, dans la bouche. Ils
ont fait ce que j'ai demandé. De leurs queues jaillissaient du jus de coco sur
mon corps tremblant.
Et chaque éclaboussure que ma peau chaude recevait me
transmettait un frisson de plaisir dans mon intérieur, de la chatte à la gorge.
J'étais littéralement baignée de sperme lorsque les hommes eurent fini leur jet
de pluie blanche. J'étais tellement épuisée par mes nombreux orgasmes que je ne
pouvais plus marcher. Les hommes ont dû me porter à la douche pour que je
puisse rincer leur sperme. C'était donc ma première visite en club échangiste
alors que j'étais en couple. D'ailleurs encore un mot sur Pierre : il n'a rien
trouvé à baiser dans le club échangiste, mais il m'a tout de même vu faire mon
numéro avec les quatre hommes. Il s'est enfui sans moi, bouillonnant de
jalousie, et a rompu le lendemain matin. Il avait réveillé mes vieux démons et
je lui en étais plutôt reconnaissante sur le coup.
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