Objet de fascination, de honte, de répression et d’opprobre, la masturbation est un sujet plutôt tabou en société. Longtemps proscrite et condamnée, notamment par l’Eglise, la masturbation reste encore aujourd’hui un thème qu’on n’aborde pas si facilement que cela. Et à en croire les autres : personne ne la pratiquerait...
Mais quand est-il lorsqu’on entrouvre la porte de l’intimité ? Eh bien, même si nous ne sommes pas tous des grands masturbateurs, à l’instar de Dali, la masturbation est en réalité une pratique que tout le monde (ou presque) essaye au moins une fois dans sa vie.
Aujourd’hui, il ne sera cependant pas question de l’onanisme, à savoir la masturbation individuelle, mais des différentes variantes de la branlette utilisée comme stimulation sexuelle, voire comme moyen d’accéder à l’orgasme.
La branlette espagnole : Le culte des seins, et pas que des gros !
Voici peut-être la plus connue de toutes les branlettes, du moins en France. Cette technique consiste à se masturber entre les seins de madame. Et contrairement à ce que les légendes urbaines racontent : nul besoin d’avoir de gros seins pour la pratiquer !
La cravate du notaire : Une variante de la branlette espagnole
La cravate du notaire consiste également à glisser le pénis entre les seins afin de se branler. Mais contrairement à la branlette espagnole où le sexe est orienté vers le visage, le pénis est cette fois-ci dirigé en direction du ventre. Autrement dit, les testicules de monsieur pendouillent au-dessus de la gorge de madame…
La branlette américaine : A vos plaquettes de chocolat
Bon, pour pratiquer la branlette américaine, Il vaut mieux ne pas avoir une taille mannequin. Cette variante consiste à « branler » le pénis entre deux bourrelets du ventre. Mesdames, à défaut de les travailler, il va donc falloir déguster vos plaquettes de chocolat sans modération si vous voulez combler monsieur !
La branlette grecque : « Non, pas dans le trou »
Les amateurs de sodomie qui n’ont pas la chance d’avoir une partenaire convaincue par le plaisir anal peuvent toujours essayer la branlette grecque. Il s’agit de simuler la sodomie en plaçant le pénis entre les fesses de madame et en répétant les va-et-vient.
La branlette italienne : « L’aile ou la cuisse ? »
Cette dernière variante de masturbation consiste à mettre le pénis entre les cuisses de madame et à simuler une pénétration (vaginale ou anale, c’est comme vous préférez !).
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