Le blog de de la rencontre échangiste

Mon amie Rachel et moi sortions régulièrement en boîte de nuit quand nous étions encore jeunes et stupides, portées par le désir de tout découvrir du monde. Une nuit, nous avons découvert notre premier trio ensemble. En voici le récit.

Nous étions excitées comme des puces, car la soirée de l’année nous faisait les yeux doux. Plusieurs heures de préparatifs : nous étions prêtes. Je portais une jupe en cuir rouge, des talons noirs et un haut noir à lanières. Mon amie portait une robe noire dos nus et des talons noirs.

Nous nous sentions incroyablement bien, en pleine confiance, si bien que nous avions décidé toutes les deux de ne pas porter de soutien-gorge, et nous avons donc affronté la fraîcheur du soir les seins libres sous la robe.

Dans le métro, nous avons ri, nous avons bu, en d’autres termes, nous étions détendues. Je me sentais libérée et un peu coquine de ne pas porter de soutien-gorge. Mes tétons étaient durs et on pouvait voir clairement que j'étais sans soutien-gorge à travers mon haut à lanières. Avec la chaleur de l’alcool, on pouvait voir mes tétons gonflés sous mon haut. Les regards choqués, avides ou jaloux me rendaient encore plus confiante.

Pour mon amie Rachel, c’était la même chose, ses minuscules tétons étaient pincés sous sa robe et je pouvais voir le contour de tout son sein. Elle était juste mon amie mais la voir comme ça m'excitait et, sur le coup, j’aurais bien aimé voir à quoi ressemblaient ses seins sous sa robe.

Plan à trois : « Je me suis mise à caresser les seins de mon amie »

Le train s'est arrêté à la station et nous avons sauté, légèrement éméchées, du métro. Nous avions nos invitations, donc pas trop de queue à faire. Dans la file d’attente, nous avions déjà repéré quelques mecs intéressants. Quelques minutes plus tard, nous étions à l’intérieur, au vestiaire d’abord, au bar ensuite.

En plein milieu de notre premier verre offert de la soirée, une chanson que nous aimions bien nous a tirées de la discussion ennuyeuse avec les deux gars qui nous avaient payé le verre. A partir de là, nous avons dansé sur toutes les chansons que nous connaissions et captivé l’attention des hommes qui nous entouraient. Plus nous buvions, plus nous devenions désinhibées. Emportée par la musique, l’alcool, la chaleur de l’air, l’envie, je me suis mise à caresser les seins de mon amie qui me pinçait les tétons en retour. J'étais tellement excitée que j'aurais fait n'importe quoi à ce moment-là.

Quatre de nos admirateurs nous ont invitées à les rejoindre pour prendre un verre au bar. C'est ce que nous avons fait. Ils se sont accrochés à chacun de nos mots, nous ont posé des questions et ont écouté nos réponses. Ils étaient cash, nous ont demandé si nous étions lesbiennes, si nous avions un copain et si nous aimions le sexe.

Deux des quatre hommes ont quitté notre table car ils avaient des petites amies et craignaient que nous les tentions trop. Nous nous sommes retrouvées avec deux hommes, dont l'un était beaucoup plus silencieux que l'autre. Il était davantage observateur. Il a tout écouté et il ne nous a jamais quitté des yeux, il n’était pas terrifiant, il nous emmenait d’un simple regard. Il faut dire qu’il était sexy et que son côté taciturne lui donnait un charme mystérieux.

Sexe de groupe : « Des frissons qui me traversaient le corps »

Mon amie était égarée dans une conversation avec l'autre gars lorsque son ami silencieux s'est rapproché pour me parler, j'ai senti mon cœur battre, il était à tomber par terre, magnifique, charismatique. J'étais aussi excitée que lorsque je dansais sous le regard de tout le monde.

Je ne me souviens pas de ce dont nous avons parlé, tout ce dont je me souviens, c’est des frissons qui me traversaient le corps quand il passait, par inadvertance, sa main à proximité de ma poitrine. Nous n’avons pas échangé beaucoup de mots, en revanche des regards et des sourires, il y en a eu plein. Avec sa voix grave, il m'a demandé pourquoi je ne portais pas de soutien-gorge et je lui ai dit que c'était parce que je me sentais à l’aise sans soutif. Il a souri.

Il s’est encore plus rapproché de moi et a retiré mes cheveux de mon cou. C’est alors qu’il a rapproché ses lèvres et il a laissé sur ma peau l’empreinte d’un doux baiser, puis a continué à parler comme si de rien n'était.

L'autre type est parti, affirmant qu'il avait aussi une petite amie et Rachel s'est rapprochée de nous. Il posa alors sa main sur son genou et demanda si nous avions envie d'aller quelque part d’autre, dans un endroit plus tranquille. Nous avons échangé un regard toutes les deux et l'avons suivi hors du club…

Suite la semaine prochaine.