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Alexia, alias Ginger G dans le milieu du gang bang, nous présente aujourd’hui sa passion pour le sexe de groupe. Grande amatrice de bukkake, elle lève le voile sur une pratique plutôt méconnue du grand public.

Salut Alexia ! Merci de bien vouloir répondre à nos questions. Peux-tu te présenter brièvement ?

Je préfère que tu m’appelles Ginger G. C’est mon nom de « scène » dans le milieu libertin. J’ai trente-quatre ans, je suis célibataire et fréquente les boîtes libertines. Mes pratiques sexuelles préférées sont le gang bang et le bukkake. Il ne se passe pas un mois sans que je participe à une soirée de ce genre.

Rencontre avec une amatrice de bukkake : « Le pont est étroit entre le gang bang et le bukkake »

Comment t’es venue cette envie de gang bang et de bukkake ?

J’aime partager. On va dire que c’est mon côté généreux qui s’exprime ! Non, plus sérieusement cette envie est née au fur et à mesure de ma vie sexuelle. Alors que j’étais dans une relation libre, j’ai eu une première expérience avec deux hommes. Ça m’a plu. De fil en aiguille, j’en suis venue à apprécier de plus en plus la pluralité masculine, et c’est devenu une passion, pour ne pas dire une drogue. J’ai participé à mon premier gang bang vers mes trente ans et j’ai été époustouflée de voir à quel point les hommes pouvaient être attentionnés. Jamais je n’aurais cru que les gang bangers seraient autant à l’écoute. Après, je ne peux pas non plus généraliser. Tout le monde n’a pas eu comme moi la chance de tomber sur des gentlemen.

Et en ce qui concerne le bukkake, comment en es-tu venue là ?

Le pont est étroit entre le gang bang et le bukkake. On peut dire qu’il n’y a qu’un pas entre les deux. Attention, je ne dis pas qu’une fille qui fait des gang-bang franchira inévitablement ce palier, mais il me parait invraisemblable qu’une fille qui pratique le bukkake n’ait jamais participé à un gang bang. Ça me semble impossible. Le bukkake est vraiment quelque chose de particulier, de très hard, qui ne plaît pas à grand-monde. Pour ma part, j’ai souvent pratiqué la faciale avec mes amants. Comment te dire ? Ça m’excite à mort. La plupart du temps je jouis quand je reçois une giclée sur le visage. Va expliquer pourquoi !

Rencontre avec une amatrice de bukkake : « Jamais allée au-delà de 15 hommes »

Comment se déroule un bukkake ? Y-a-t-il forcément pénétration avant ?

Pas nécessairement. Certains gang-bang tournent au bukkake, mais il n’y a rien d’obligatoire. Du moins pas par là où je suis passée. J’aimerais préciser quelque chose avant de raconter mon expérience personnelle. Il faut savoir qu’il y a des bukkake amateurs, comme ceux auxquels je participe, et les bukkake « professionnels ». Dans ce cas les filles sont payées. Personnellement, je n’ai jamais demandé d’argent. On m’en a déjà proposé, mais j’ai refusé. A partir du moment où ce n’est pas filmé, je ne vois pas la raison de le faire pour l’argent.

Contrairement au gang bang classique, où il y a en général 5 à 6 mecs pour une fille, le bukkake se déroule en compagnie d’une dizaine, d’une vingtaine et parfois même, dans les cas les plus extrêmes, de 50 à 100 personnes. J’ai déjà entendu parler d’une fille qui avait pris une douche de sperme de plus de 200 hommes. De mon côté, je ne suis jamais allée au-delà de 15 hommes. C’est déjà beaucoup je trouve.

Pour répondre à ta question, un bukkake se déroule ainsi : une femme (ou parfois plusieurs) est entourée de plusieurs hommes qui se masturbent et lui éjaculent dessus. Soit sur le visage, soit sur les seins ou sur d’autres parties du corps. Quoi qu’il arrive, on précise les règles au début. Mais parfois, on se laisse emporter par l’excitation. Par exemple, j’ai avalé le sperme de douze hommes. Pour y parvenir, il a fallu que j’entre en transe. Sans cela, je pense que je n’y serais pas arrivé. J’étais dans un état d’excitation tel que j’ai ouvert la bouche. C’était le code pour dire « allez-y les gars, nourrissez-moi ».

Rencontre avec une amatrice de bukkake : « J’étais en transe, littéralement en nage »

Et c’était comment ?

Comme je t’ai dit, j’étais en transe, littéralement en nage. J’ai multiplié les orgasmes sans que personne d’autre que moi ne me touche. Question goût, je ne vais pas te mentir, le sperme n’est pas ce qu’il y a de plus ragoûtant. Mais à ce moment-là, j’étais dans une autre dimension. Dans une dimension où plus rien d’autre que le moment présent et l’excitation ne compte. Il n’y a ni jugement, ni peur, rien de tout ça. C’est un moment de déconnexion avec la réalité comme je n’en ai jamais vécue.   

Quelles sont les mesures à prendre sur le plan sanitaire ? N’as-tu pas peur des MST ?

 Là où je vais, les hommes sont triés sur le volet. Seuls ceux qui présentent des analyses sanguines séronégatives sont acceptés. Jamais je ne prendrai le risque de participer à un bukkake si je n’ai pas un minimum de certitudes quant aux profils des participants.