Le blog de de la rencontre échangiste

Ma femme Sandrine et moi nous sommes mariés il y a sept ans, respectivement à l'âge de 32 ans et 38 ans. Nous nous entraînons tous les deux régulièrement et elle a conservé sa superbe silhouette avec ses longues jambes galbées et son ventre plat qui m’avaient séduit dès le premier regard. Les hommes l’observent toujours quand nous sortons et je suis parfois épaté de voir que certains essayent de la draguer même quand je suis là.

J'ai toujours été fier d'avoir une femme aussi sexy et je n'ai jamais eu de problèmes de jalousie.

Sandrine est une rousse naturelle même si cela ne se voit pas entre ses jambes quand elle est à poil. Elle s’entretient toutes les semaines. J'adore la baiser, pas seulement parce qu'elle est délicieusement sexy, mais parce qu'elle aime le sexe comme peu d’autre ! Elle court toujours après l’orgasme ! Une fois qu'elle a commencé, elle s'emballe et elle peut baiser pendant des heures. Difficile de tenir le rythme, surtout à mon âge.

Au fil des ans pourtant, même le meilleur sexe peut devenir routine. Il fallait pour notre amour essayer de nouvelles choses. Un bon film porno par-ci par-là ne suffit pas. Alors je lui ai déjà demandé de venir avec moi dans un strip club. Nous nous y sommes amusés mais elle n'était pas pressée d'y retourner.

J'ai remarqué que les vidéos de gang bang la faisaient mouiller. Elle a dit qu'elle aimait l'idée d'être désirée par autant d'hommes et d'être le centre de l'attention. Je crois qu'elle a aussi aimé l'idée de se faire tirer par un tas de bites dures. Comme je le disais, elle est insatiable…

Soirée échangiste privée : « Elle m’autorisait à aller voir ailleurs »

Finalement, j'ai commencé à rêver d'introduire d'autres personnes dans notre vie sexuelle. Je pensais que Sandrine y songeait également, alors j'ai été déçu quand elle m’a dit « Oh mon dieu, je ne peux pas croire que tu penses que je pourrais te faire ça ! Te tromper, hors de question.»

J'ai persévéré : la jalousie, je ne connais pas. Et il n’y avait pas tromperie si j’étais consentant. J'ai trouvé un site tenu par un couple organisant des soirées privées dans leur grande demeure et je lui ai montré pour qu’elle se fasse une idée des genres de fantasmes qui m’habitaient soudainement. Elle a accepté, un peu à reculons, de se rendre à une soirée échangiste dans cette grande demeure en dehors de la ville. J’ai donc pris contact avec les organisateurs qui nous inscrits sur la liste d’une soirée deux semaines plus tard.

Elle a dit très clairement qu'elle ne faisait cela que pour moi, qu’elle m’autorisait à aller voir ailleurs, mais qu’elle n'avait aucune intention de participer à quoi que ce soit. De plus, nous devions partir immédiatement si elle se sentait mal à l'aise là-bas. J’ai dit oui même si je savais qu’elle me disait cela pour se dédouaner au cas où elle dériverait.

Nous avons été accueillis à la porte par nos hôtes, Jean et Marie, qui nous ont immédiatement remis à chacun une coupe de champagne comprise dans le prix et nous ont offert une visite guidée. Il y avait déjà pas mal de monde. Ils semblaient tous avoir à peu près notre âge et être en pleine forme.

Marie était plus petite que Sandrine et portait une robe jaune très ajustée qui laissait entrevoir qu’il n’y avait rien en dessous. On pouvait voir clairement ses mamelons qui essayaient de percer le tissu et aucune trace de culotte apparente bien que la robe fût comme une seconde peau sur elle.

Soirée échangiste privée : « Tu ne devras pas te plaindre de ce que je ferai cette nuit »

Ma femme, en revanche, portait une chemise à manches longues et un petit gilet. On aurait dit qu’elle était habillée pour le bureau. Sa tenue disait : « Je ne suis pas ici pour la même raison que tout le monde, alors n’essaye même pas de m’approcher ». Mais bon, je n’ai pas à lui dire comment s’habiller.

Jean était un bel homme, mesurant environ 1m80, avec une silhouette athlétique. Au cours de la visite, plusieurs couples se sont rencontrés dans le grand salon ouvert qui communiquait avec une cuisine et un couloir menant aux chambres. On nous a dit que si une porte était fermée, cela signifiait qu’il fallait rester à l'extérieur, mais que si elle était entrouverte on pouvait entrer et satisfaire nos tendances voyeuristes.

Une porte grande ouverte était une invitation à participer, mais il fallait impérativement demander avant de vous joindre ou de toucher. Ils nous ont dit qu'ils attendaient environ vingt couples, quelques femmes célibataires et peut-être une demi-douzaine de célibataires.

Bientôt, nos hôtes nous ont quittés pour escorter de nouveaux arrivants. Sandrine et moi sommes retournés dans le salon et avons pris place sur l'un des canapés. Il était clair qu'elle n'était pas à l'aise.

Elle avait à peine dit un mot et tenait ses bras croisés sur sa poitrine. Finalement, nous avons vu des couples et des célibataires se mêler, se draguer, et d’autres disparaître dans un couloir ou à l’extérieur. Sandrine, qui n’était pour l’instant pas d’humeur, a finalement dit que ce n’était pas son truc et qu’il était temps de partir.

Je voulais rester un peu plus longtemps et lui ai dit que je voulais d’abord finir ma coupe de champagne. Vexée, elle a bu la sienne cul sec et a dit « puisque c’est comme ça, tu ne devras pas te plaindre de ce que je ferai cette nuit ».