Connexion Inscription
Accueil Blog libertin Soirée libertine mondaine : « Le sucre d'orge fondait dans ma gorge »

Le blog de de la rencontre échangiste

illustration

Soirée libertine mondaine : « Le sucre d'orge fondait dans ma gorge »

Poster un commentaire

L’écho de mes talons retentissait dans l’escalier de ce très chic immeuble parisien. A chaque pas mon cœur s’emballait un peu plus dans ma poitrine. Au troisième étage, je sorti de mon sac mon loup et mon rouge à lèvres. Un coup d’œil dans la vitre, quelques ajustements suffirent. Je m’étais préparée pendant près de trois heures pour ce moment. Aucun détail n’était passé entre les mailles du filet. De la manucure à l’épilation, de la pédicure à la coiffure, en passant par le maquillage, le choix de la tenue, une robe noire moulante sous laquelle j’avais enfilé des porte-jarretelles, je n’avais rien laissé au hasard. Je devais être parfaite, éblouissante, épatante, désirable à en rendre déraisonnables les mâles.  

Je remis un peu de rouge à lèvres pour redonner de la brillance à mes lèvres, puis je posai mon masque. Plus qu’un étage à gravir pour atteindre le septième ciel. Une légère musique se faisait entendre jusque dans l’escalier qui traversait une lourde porte ancienne. Même sans indication j’aurais pu trouver la soirée. Je frappai alors trois grands coups à la porte en guise de mot de passe. La porte s’entrebâilla et une main gantée se présenta à plat comme pour recevoir un présent ou un ticket de cinéma. Je sortis mon invitation et la déposa dans la main de l’hôte qui ouvrit un peu plus grand la porte et me laissa entrer.

Soirée libertine mondaine : « Je m’enivrai de ce flot d’hommes bien bâtis »

soirée libertine

Le couloir était long, large, lumineux. Quelques invités y discutaient. Ils me saluèrent élégamment en prenant ma main et en faisant mine de l’embrasser. Je me sentais tout de suite importante. Mon hôte, qui n’était en réalité que le majordome, me débarrassa de mon long manteau et de mon petit sac à main. A la vue de mon regard perplexe, il me rassura : mes affaires étaient entre de bonnes mains. Puis il me mena au salon, vaste et aménagé à la façon des salons du XVIIIème siècle. Les regards se penchèrent sur moi quelques secondes, puis replongèrent dans leur discussion visuelle.

Il devait y avoir une quinzaine de personnes éparpillées en petits groupes de trois ou de quatre. L’un des invités, grand et costaud, habillé d’un costard et d’un nœud papillon m’adressa la parole d’une façon étrange, très courtoise, soit dit en passant. Je compris rapidement que nous étions comme des acteurs sur la scène d’un théâtre, jouant une pièce mondaine, et je me suis prise au jeu. Nous parlâmes encore quelques minutes sur un ton courtois, avant que les invités masculins, un à un, viennent me faire la cour. Je m’enivrai de ce flot d’hommes bien bâtis qui me faisaient montre d’intérêt.

Mon premier gentleman m’invita à découvrir les autres pièces de l’appartement. Je compris qu’il était le maître des lieux. Nous pénétrâmes une première chambre à la lumière tamisée. Deux hommes en costume faisaient l’amour à une femme en porte-jarretelles. La vue de cette scène d’amour m’excita. Nous continuâmes notre visite. Plus nous nous enfoncions dans l’appartement, plus les gens étaient dénudés. L’orgie battait son plein et moi aussi je voulais en faire partie. Je passai alors à l’offensive. Mais l’hôte me fit comprendre aussitôt qu’il ne faisait que garder les lieux. Il me convia donc à faire connaissance avec les gentlemen qui discutaient dans le salon principal.

Soirée libertine mondaine : « Plaisir à les savourer comme une glace à la vanille »

Mon retour dans la salle attisa la curiosité plus que mon arrivée ne l’avait suscitée. Deux hommes vinrent vers moi. Je leur tendis les bras afin qu’ils m’enlaçassent. Ils me menèrent dans une autre pièce où quatre personnes se caressaient tendrement. Nous prîmes place sur le grand canapé qui demeurait libre jusqu’à notre arrivée. Nous nous installèrent : moi entre mes deux gentlemen. Chacun à leur tour, ils me couvrirent de compliments. Je les embrassai sur la joue tour à tour pour les en remercier. L’envie me consumait de l’intérieur, mais je voulais profiter du moment, alors je continuai à me laisser complimenter.

Mes deux gentlemen prenaient à cœur cette étape préliminaire sur le chemin des plaisirs de la chair. Ils prenaient à cœur leur rôle de courtisan. Au vrai, ils n’attendaient que mon feu vert pour allumer la mèche. Je pris la main du premier et la posa sur mon sein gauche, puis celle du second sur mon sein droit. Ils me caressèrent délicatement, me faisant me mordiller les lèvres de plaisir. Mes mains partirent en promenade dans les pantalons de mes deux gentlemen que la nature avait merveilleusement fournis. Je libérai leur membre et me fit un bonheur à les savourer comme une glace à la vanille. J’avais très envie d’être dégustée moi aussi et un de mes gentlemen me fit le plaisir de passer sa langue sur ma vulve mouillée et rayonnante. Je continuai pendant ce temps ma dégustation avec toujours plus d’allant.

Je voulais qu’on me fende, alors je me mis à quatre pattes sur le canapé pour qu’un des deux me saisissent. Ce qu’un d’entre eux fit, tandis que le sucre d’orge fondait dans ma gorge. Nous passâmes plus de deux heures à nous échanger des friandises.

Comblée par la première soirée libertine privée de ma vie, je fis commander un taxi par mon hôte et rentrai gentiment à la maison.

0 commentaire

Poster un commentaire

OK
Nous respectons votre vie privée

Nous utilisons les cookies afin de vous offrir une expérience optimale et une communication pertinente sur nos sites.
Nous veillons à obtenir votre consentement quant à l’usage de vos données et nous nous engageons à les respecter.

Pour plus d’infos sur vos données personnelles, consultez notre politique de confidentialité.