Déjà dur dans l'attente de cette soirée interminable, ce
nouveau virage dans le candaulisme me faisait presque chavirer dans l'ivresse érotique.
Mon érection me faisait mal alors que sa chatte s'approchait de mes lèvres
demandeuses.
La première chose qui m'a frappé, c'était l'odeur. Elle
respirait le sexe. L'odeur musquée, mélangée à sa propre excitation, ajoutée au
latex du préservatif, envahissait ma bouche. Ma langue était impatiente
d'explorer l'inconnu.
Son clitoris dépassait tandis que je passais ma langue
autour de lui, doux et rugueux à la fois. J'écartai ses lèvres et le caressai
avec amour. Elle s'est détendue et a commencé à me raconter sa soirée. Elle m'a
parlé de sa queue. Elle n'était pas particulièrement longue, à peu près la
taille de la mienne, mais était épaisse. Elle avait forcé l'entrée de son
temple, avait pénétré sa chatte serrée avec savoir-faire, en rythme et avec précision,
avant d'accélérer et de s'enfoncer profondément en elle pour une explosion de
plaisir.
Alors qu'elle racontait les détails, elle paraissait revivre les événements de la nuit. Sa chatte écrasait mon visage au rythme des souvenirs qui s'intensifiaient. Elle avait changé de position pour que ma langue entre dans sa fente. Le goût était fort mais bon. Je léchai et plongeai ma langue en essayant de garder le rythme qu'elle fixait. Elle était ? dans son histoire ? sur le point de jouir.
? La prochaine fois, a-t-elle déclaré, je le baise sans
préservatif. Il va remplir ma chatte, vider son énorme charge au fond de moi.
Alors qu'elle faisait cette annonce, je la sentis se tendre et jouir sur mon
visage. Un nouveau jaillissement de plaisir me coula dans la gorge. Je le
buvais avidement alors qu'elle ralentissait les mouvements de bassin.
Quand elle eut fini, au lieu de descendre, elle resta là un
moment, un sourire malicieux se dessinant sur son visage. Elle ramena sa chatte
à mes lèvres.
? Ce n'est pas encore propre ! me lança-t-elle.
Je me suis remis alors à sucer et à lécher sa chatte et son
clitoris de plus belle. Elle man?uvrait au-dessus de moi, et puis c'est venu.
Juste un petit filet au début, ma langue tendue recevait le liquide amer qui s'écoulait
en fontaine. Puis un goût âcre a frappé le fond de ma gorge et a commencé à
remplir ma bouche. J'avalais aussi vite que je le pouvais, or c'était toujours plus
difficile de suivre le rythme du flot. Elle pissait directement dans ma bouche
! C'était quelque chose sur quoi j'avais fantasmé, un sujet que j'avais lu et
relu, et une fois, il y a longtemps, mentionné au détour d'une conversation
érotique, mais rien n'en était jamais advenu.
? Tu aimes ça ? demanda-t-elle. C'était autant une
affirmation qu'une question. De par mes clapotis frénétiques et la douleur dans
mon sac plein depuis des jours et des jours, il était impossible de lui
répondre.
Elle a fourni elle-même la réponse : « Oui, bien sûr
que tu aimes ça. Habitue-toi, car tu nettoieras ma chatte souillée à l'avenir ».
En disant cela elle a saisi ma queue, et de tirer de plus en
plus fort dessus. J'ai explosé presque immédiatement. C'était génial. Sur quoi
elle a arrêté de faire pipi. Puis elle m'a fait un gros bisou sur les lèvres et
est descendue de moi pour aller à la salle de bain.
Voilà la nuit où je me suis considéré pour la première fois
comme un candauliste. Les choses iraient plus loin à l'avenir, c'était une
évidence qui me faisait saliver d'impatience. Les bases de notre toute nouvelle
relation libertine candausliste étaient désormais posées pour le meilleur et
pour le pire.
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