La rédaction de votre blog libertin s’intéresse aujourd’hui aux fantasmes féminins et vous présente son top 5 ! N’hésitez pas à nous donner votre avis et à nous soumettre vos tentations les plus osées et les moins ordinaires en commentaire !
L’uniforme, signe d’autorité, de prestige ou de pouvoir, signe qui distingue certaines fonctions du commun des mortels, rendrait-il plus attractif ? Voilà le postulat d’après lequel nous défendrons l’idée saugrenue que les hommes en uniforme partent avec un avantage sur ceux qui n’ont que leur haillon ou leur chemise pour séduire.
Dans l’imaginaire collectif, le pompier, sexy, costaud, sauveur de ses dames en détresse, attise les convoitises féminines. Il n’y a qu’à se rendre au bal des pompiers pour remarquer que les femmes n’ont d’yeux que pour ceux qui portent la tenue de pompier.
Dans un autre genre, plus autoritaire, le policier, en tant que gardien de la paix et représentant de l’ordre, rencontre un certain succès auprès des femmes. Serait-ce le fantasme des menottes qui en serait à l’origine ?
Le chef cuisinier, avec sa toque et son tablier, suscite également l’appétit de goûter au fruit de la passion. L’homme au fourneau, voilà un fantasme que les femmes au foyer ont dû avoir pendant des siècles.
N’oublions pas le facteur qui apporte les bonnes nouvelles et les factures, le médecin avec sa blouse, sa belle montre et son club de golf ou encore le ramoneur venu ramoner la cheminée.
La crainte de se faire surprendre en pleine action, l’adrénaline d’être pris en flagrant délit, voilà qui anime le désir féminin et alimente les fantaisies. Que ce soit dans l’ascenseur, dans l’escalier, dans le hall d’immeuble, dans la voiture, sur un parking ou en pleine nature, l’amour en public ne laisse pas grand-monde insensible, surtout ceux et celles qui y voient une perversion impardonnable.
Qui n’a jamais rêvé d’avoir oublié sa petite culotte à la maison, de se balader en jupe ou en robe les fesses à l’air libre sans que les autres ne le sachent ? Ce fantasme de nudité à moitié assumée, tirant son origine dans le désir de transgression ou dans l’angoisse excitante et délicieuse de la honte, présente l’avantage d’être facilement réalisable. Et puis c’est plutôt pratique quand on a que quelques minutes devant soi…
Dans la Grèce antique, les hommes expérimentés avaient pour mission d’initier les jeunes à la sexualité. Eh bien, ce qui était autrefois une coutume est aujourd’hui un fantasme qui stimule et flatte certaines femmes mûres qui aiment endosser le costume d’enseignante et de maîtresse pour former les jeunes hommes fougueux et intrépides.
Si certaines femmes apprécient prendre la fessée ou la prennent à contrecœur, d’autres s’imaginent la donner. La fessée, acte qui lie le dominé au dominant, acte de soumission, d’humiliation, de honte, appartient à ces fantasmes SM que des livres comme 50 Nuances de Grey ont contribué à rendre admissibles voire totalement tendances et branchés.
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